Club d'Invention d'Histoires [C.I.H] V3

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Re: Club d'Invention d'Histoires [C.I.H] V3

Messagepar haileene » 16 Avr 2016, 16:17

Bon je fais un spécial double post, juste pour marquer la différence entre mes comms débiles et ce post qui est mon histoire.
Armez-vous de patience, un peu plus de 3000 mots... un petit pavé pour un texte fofo j'imagine, mais comme tout... j'arrive pas à faire court :kxD: et avec un spécial clin d’œil pour mes amis du MMFC :kglinse:
Donc voilà bonne lecture et je me réjouis de lire mes chers écrivains "opposants"

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Votre bœuf, vous le voulez comment ?


Mukashi mukashi...

Dans une vallée lointaine, verdoyante, tranquille, dans laquelle gazouillent joyeusement variété d'oiseaux, se niche également un petit village dont l'activité principale est la paysannerie.

Comme souvent dans ces endroits reclus, il n'est pas évident de trouver les commodités qui semblent pourtant les plus évidentes pour la majorité d'entre nous. C'est donc à ce moment uniquement que la plupart des habitants de Josei Ten-in Tanima se décident à un harassant voyage vers La Ville. Inutile de dire qu'aucun d'entre eux n'apprécie vraiment y aller, se sentant opressés dans les petites ruelles bondées, n'aimant guère le bruit incessant des activités florissantes provenant de diverses échoppes, sans compter que tout leur semble si coûteux, à eux qui produisent leur propre sake et leur propre nourriture...

En cette matinée humide de fin d'été, Rin Tanaka, jeune paysan de ce petit village, se prépare au mieux pour ce périple. Il fait en sorte de tout planifier méticuleusement de manière à ne pas avoir à répéter le voyage trop rapidement. Il charge sa charrette des divers produits à vendre, fait l'inventaire de ses étagères, contrôle l'état des ses outils et prends note de ceux qui nécessitent un remplacement.

Qu'est-ce que j'aimerai avoir une compagne pour m'aider dans ces préparatifs... songea Rin. Lui, fils unique, qui à 25 ans est toujours célibataire, commence à ressentir le besoin de passer ce nouveau cap de vie... La reprise de la ferme familiale, suite au départ inattendu de ses deux parents pour un autre village lointain mais plus commode à vivre au quotidien, n'a déjà pas été simple, mais c'est un cap qu'il a franchi seul, envers et contre tout, grâce à un labeur incessant. Cependant, il sent bien que même si financièrement son travail a été récompensé, il lui manque ce petit quelque chose qui rend le quotidien plus agréable, les matins plus supportables et les soirées plus chaleureuses...

La dernière touche à ses préparatifs est d'atteler Mikoto, son vieux bœuf, à la charrette, tout en masquant sa tristesse. Rin ne veut pas montrer à son compagnon de labeur que c'est son dernier voyage, mais dernièrement Mikoto a commencé à boiter bas, il a besoin de plus de pauses dans les divers travaux les plus physiques et Rin se rend compte qu'à 35 ans, il a déjà bien vécu le bougre...

C'est donc le cœur lourd qu'il prit la route en direction de La Ville. Durant cette époque de vie, les routes étaient bien plus sûres que dans un passé pas si lointain que ça. C'est donc un voyage peu trépidant qui se profile pour Rin... et en effet, rien de notoire se passa... Si ce n'est, à un moment inattendu, la vue d'un lapin avec un ruban et un joli nœud coloré trônant entre ses deux grandes oreilles... Cette vision fut si impromptue et si intrigante que Rin attacha rapidement Mikoto à un troc solide, et partit à la recherche de se lapin si bizarre...

Bien que étant paysan, Il avait aussi pratiqué la traque aux petits animaux durant sa jeunesse, il se surprit donc à rapidement retrouver les traces de pattes lui permettant de continuer sa "chasse". Puis à un moment, encore pus surprenant que le ruban ornant la tête du lapin, Rin trouva un œuf en chocolat posé entre les traces de pattes... Décidément, pour un voyage qui devait être tout sauf trépidant, il commença à devenir de plus en plus intriguant... Rin continua encore un moment à suivre cette piste, collecta encore 4 autres œufs, puis fit face à un buisson touffu... les marques de pattes indiquaient clairement que le lapin était entré dans ce buisson... Que faire ? Partir à la découverte sans savoir ce qui se trouverait de l'autre côté ? Ou sagement rebrousser chemin et continuer le périple vers La Ville ?

Après une minute de réflexion, Rin, qui n'était pas si téméraire que ça, se décida pour la seconde solution et retourna donc vers Mikoto, le détacha et continua sa route normalement, n'oubliant pas au passage de déguster un des œufs en chocolat... Quelle étrange idée... des œufs en chocolat ? Pour quelle raison ? Qui pourrait inventer une telle idiotie dans le monde connu ? Même si, à la réflexion, Rin se surprit à apprécier ces petites douceurs.

En fin de journée, un peu plus tard que prévu en fait, résultat de sa traque au lapin, Rin arriva à l'Auberge du Lapin d'or, dans laquelle il passait la nuit lors des ses voyages vers la ville. Il prît donc une chambre simple et bon marché, y déposa ses affaires, et redescendit pour se restaurer. Après son repas, il se dit que pour accompagner son thé, un de ces œuf serait sûrement agréable. Il en sortit un de sa poche, et, à ce moment, un étranger qu'il avait vu, mais dont il ne s'était soucié s'approcha de lui et s'exclama dans un japonais très approximatif : "Un œuf de Pâques ? Je ne savait pas que vous célébriez aussi Pâques au Japon !" Rin grommela en retour qu'il n’avait aucune idée de ce qu'était Pâques, et qu'il souhaitait boire son thé tranquillement et ne désirait en aucun cas faire la conversation. L'étranger s'excusa donc, et retourna à sa table, l'air déçu de ne pas avoir pu faire plus ample causette.

Le lendemain, tout se passa le plus calmement du monde et Rin toucha au but en fin de matinée. La Ville ; elle semblait toujours aussi animée et intimidante.

Il commença donc la tournée habituelle pour vendre ses produits aux commerçant locaux. Une fois son stock épuisé il se retrouva avec une bourse bien garnie. C'est là qu'un gros pincement au cœur vint assombrir sa journée... Il se rendit compte que c'était finalement le moment tant redouté qui arrivait, le moment ou il devait aller vendre Mikoto au boucher... Il enlaça donc tendrement son boeuf et lui murmura à l'oreille "tu auras été un merveilleux compagnon de travail, tu vas me manquer, mais tel est le destin de chaque animal de ferme..." Une larme perlait au coin de l’œil de Rin, Mikoto baissa la tête, comme s'il avait comprit et qu'il se préparait à son destin.

Rin se présenta au boucher, une courte négociation sur le prix s'en suivit, mais Rin demanda une faveur au boucher contre un prix légèrement plus bas... Faire en sorte que la mort soit douce pour Mikoto. Une poignée de main scella le contrat, Rin fut payé, il se retourna une dernière fois vers Mikoto, puis marcha en direction du marché aux bétail de La Ville.

En arrivant sur la place, à son grand désespoir, il n'y avait qu'un seul marchand qui proposait des bœufs à la vente. Il se dirigea donc tranquillement vers lui. Une fois à proximité, le marchand lui dit : "Alors votre bœuf, vous le voulez comment ?" Surpris par cette formule, Rin hésita. Le marchand le toisa du regard et lui dit à voix basse "Vous savez, mes bœufs ne sont pas de simples bœufs, je vous vendrais celui qui correspondra à votre demande et... Il pourrait bien vous surprendre cet animal dont vous deviendrez le propriétaire..." Cette phrase supplémentaire n'eût certainement pas pour effet d’apaiser les appréhensions de Rin, qui hésita encore plus et se mit à réfléchir à toute vitesse.

Après une quinzaine de secondes d'un long silence empli de réflexion, il répondit "Je le veux robuste, fort et indépendant !" Rin espère ainsi avec cette demande être propriétaire d'un de ces rares bœufs capables d'être laissés seuls dans un champ pour y effectuer le travail de labour ou de semis, sans être guidé par la main humaine.

"Hummm, choix intéressant, oui intéressant..." dit le marchand. Il proposa immédiatement un animal nommé Touma, qui était en effet bien musclé, d'une race avec une fourrure un peu plus épaisse que la normale, ce qui le rendait bien résistant aux différents éléments météorologiques.

Les deux hommes négocièrent le prix, échangèrent donc une poignée de main et la transaction fût scellée. Le marchand ajouta "Vous savez, si vous en prenez grand soin il se pourrait que cet animal soit bien plus que ce que vous attendiez. Et si, au pire il ne convient pas à vos attentes mais qu'il reste en bonne forme et bien traité, je peux envisager un échange lors de la prochaine saison." "D'accord ! Je n'y manquerait pas." fit Rin, tout en pensant que franchement, quel marchand tiendrait réellement cette parole ?

Le voyage retour commença, mais pas avant que Rin ne prît le temps de faire ses achats nécessaires pour la saison à venir. Touma semblait en effet être un bœuf répondant aux attentes de Rin. Il avançait vite, se dirigeait dans la bonne direction en arrivant aux intersections, à tel point que Rin se remémora la phrase du marchand "... Mes bœufs ne sont pas de simples bœufs..." il se surprit à se demander à quel point ce bout de phrase était empli de signification.

De retour à Josei Ten-in Tanima, Rin déchargea sa charrette, défit l'attelage de Touma et le guida dans son enclos intérieur, fit le plein de la bassine d'eau, rempli la mangeoire de fourrage, regarda son nouveau compagnon et lui dit : "Pourvu que nous nous entendions bien tous les deux, tu me parais être un animal étonnant..."

Une fois toutes les tâches de rangement effectuées Rin grignota quelque chose, se lava rapidement, et s'effondra de fatigue sur son lit.

Le lendemain matin, Rin se rendit vers l'enclos pour voir comment son nouveau compagnon avait passé la nuit. Quelle ne fût pas sa surprise de découvrir un enclos... vide, dont une paroi avait été enfoncée... Rin passa par le trou et trouva Touma, tranquillement en train de brouter de l'herbe fraîche. Touma ne fit aucun mouvement brusque, mais fit clairement comprendre à Rin qu'il n'obéirait pas avant de s'être rassasié d'herbe fraîche.

Malgré ce petit problème de début de journée, Rin fût enchanté du comportement de Touma, qui au final semblait effectivement correspondre à sa demande faite au marchand. Arrivé à la soirée, Rin mena Touma dans son enclos couvert que Rin avait réparé à la va-vite durant la journée. Il le brossa, rempli les différents contenants de nourriture et d'eau, lui dit un remerciement pour le travail effectué au cours de la journée et s'en alla en verrouillant l'enclos.

Le lendemain matin, rebelote, Touma était à nouveau sorti, mais en enfonçant une autre paroi, afin de pouvoir gambader le long de la rivière proche. Rin commençait à s'inquiéter de ce comportement, mais le temps gagné lors des travaux de la journée compensaient en partie ces désagréments.

Puis pendant toute une saison, le manège se répéta, ce qui mit les nerfs de Rin à rude épreuve, car à chaque fois le bœuf s'éloignait un peu plus, enfonçait des barrières de voisins, allait trouver compagnie plus douces vers des étables voisines, ce qui provoquait les plus vives réprobations des voisins.

La saison se passa donc de manière mouvementée, mais malgré tout productive, et au final, Rin se promit de retourner voir le marchand de bétail lors de son voyage proche. Il se prépara donc à donner de nouveaux traits distinctifs pour son nouveau bœuf.

Une fois sa tournée de vente finie, il alla donc sur la place du marché au bétail et repéra rapidement le marchand qui criait à tout va "Votre bœuf, vous le voulez comment ?" Il s'approcha, le marchand le remis immédiatement, et lui demanda comment Touma se comportait.

Rin lui exposa la situation et lui rappela son offre d'échange. Le marchand, sans paraître contrarié, lui demanda s'il était sûr de son choix. Rin lui répondit par la positive et lui demanda un bœuf docile, travailleur et reconnaissant envers son propriétaire. Le marchand se fit plus hésitant quand au choix que lors de la première rencontre avec Rin.
Il fit aussi remarquer à Rin, que selon sa demande, il se pourrait que ce bœuf soit plus fragile que Touma, et qu'il risquait de lui demander plus d'attentions. Rin acquiesça pour confirmer qu'il comprenait bien la situation.

L'échange fût donc fait sans problème car Touma était en pleine forme. Rin se retrouva donc en possession de Kuroko, qui en effet semblait un peu plus frêle que Touma, avait une fourrure moins dense, ce qui n'arrangeait pas Rin au vu de la saison d'hiver qui s'approchait. Le marchand réaffirma son offre d'échange, les hommes se séparèrent et Rin continua ses emplettes.

Sur le chemin du retour, en effet Kuroko était bien moins assuré que Touma, mais, une fois le contact visuel effectué avec son nouveau maître, répondait tout-à-fait positivement aux directives de celui-ci.

De retour à la ferme, Rin prépara un petit coin sous un abri de fortune pour Kuroko, car Touma avait en effet fini par complètement détruire l'enclos fermé et au vu de son comportement Rin n'avait pas jugé nécessaire de le reconstruire immédiatement. Kuroko paraissait un peu agité, les yeux observant tout autour de lui, l'air un peu paniqué de ne pas se retrouver en intérieur. Son maître le rassura en lui disant qu'il ne risquait rien, qu'aucun animal sauvage n'errait dans les parages pour le moment. Tout en pronon4ant cette phrase, Rin se rendit compte de l'urgence de reconstruire un enclos fermé et solide pour le bien-être se son nouveau compagnon de travail.

Cette fin d'automne fût donc une course contre la montre pour Rin, afin de préparer les champs et de semer les grains d'hiver avant les premières neiges, reconstruire l'abri pour Kuroko, et couper son propre bois pour se réchauffer durant l'hiver à venir. Sans compter qu'avec tout ça, il était toujours seul, et que cela n'aidait vraiment pas à effectuer toutes les tâches nécessaires à la vie courante. Au final, Kuroko était d'un grand réconfort, et malgré peut-être un travail moins grand abbatu que Touma, ce bœuf communiquait à Rin beaucoup de chaleur et de présence. Les deux étaient proches, et semblaient très complices.

Finalement aux premières neiges, tout était prêt, mais Rin était épuisé. Heureusement, il avait bien préparé l'hiver à venir, et il anticipait un peu ce moment pour pouvoir enfin se reposer un peu au coin du feu, au vu du nombre de travaux réduit à effectuer durant cette saison calme.

Un mois s'était écoulé dans cet hiver un peu plus enneigé et froid que d'ordinaire. Jusque là Kuroko se portait bien, car Rin avait pris soin d'isoler les parois de l'enclos avec un torchis de paille et de terre, ce qui empêchait au vent froid mordant de pénétrer dans l'abri. Mais ce matin là, à l'arrivée de Rin, Kuroko le regarda, en communiquant bien que quelque chose n'allait pas comme-il-faut. Une visite du vétérinaire s'imposait.

Le diagnostic fût posé rapidement, et le vétérinaire conseilla à Rin de mettre son bœuf dans un endroit bien plus chaud le temps du rétablissement (s'il était possible) et lui donna toute une liste de préparations et d'herbes à préparer et à donner à son animal, s'il voulait espérer un rétablissement, tout en ajoutant que les médicaments seraient d'aucun secours pour Kuroko. En partant, le médecin ajouta un condescendant "Bonne chance, que les Dieux soient avec votre animal..." qui ne laissait rien présager de bon de l'avis de Rin.

C'est ainsi que pendant une semaine entière le bœuf se retrouva installé en plein milieu de la pièce principale de la maison, vers le poêle, en ayant toute l'attention que Rin pouvait lui prodiguer... cependant son état ne semblait guère s'améliorer. Les nuits blanches se succédèrent, Rin couvrant Kuroko de couvertures, allant jusqu'à lui faire prendre ses mixtures en les lui forçant dans la bouche à l'aide d'une sorte de grosse seringue.

Lors de la septième nuit, alors que tout semblait aller pour le pire, Rin fini par s'endormir, totalement épuisé. Il fit un rêve étrange dans lequel il pourchassait un lapin, passa au travers d'un buisson pour le suivre et se retrouva soudainement devant une ferme isolée en pleine lisière de forêt, avec en son enclos un bœuf ressemblant trait pour trait à Kuroko. Puis soudainement, la porte de la ferme s'ouvrit, laissant apparaître une magnifique jeune femme qui se présenta à Rin. Elle s'appelait Shirai Kuroko. Rin émis une exclamation surprise, fini par se présenter, puis regarda à nouveau vers l'enclos... vide...

C'est alors que Rin émergea de son sommeil. Il eût immédiatement une sensation bizarre, en sentant que sous les couvertures ou aurait dû se trouver Kuroko, le volume ne correspondait pas du tout... inquiet, il écarta les couvertures pour découvrir, couchée là dans sa maison, la femme de son rêve... Comment tout cela était possible ?

La femme lui dit alors : "Vous savez, si vous en prenez grand soin il se pourrait que cet animal soit bien plus que ce que vous attendiez." Rin se souvint alors de cette phrase du marchand lors de sa première rencontre... Tout ça le laissait très songeur, mais en même temps assez content de la situation.

Rin eût tout le reste de l'hiver pour apprendre à connaître Shirai et au final, comme lors de leur complicité précédant la transformation de Shirai, les deux avaient la même complicité et la complicité fit place l'amour. Finalement Rin n'était plus seul. Il avait trouvé son âme sœur.

Vers la fin de l'hiver, les deux amoureux se préparèrent au voyage vers La Ville, car, oui, il fallait acheter un bœuf pour la saison à venir...
Sur le chemin, à un moment, Shirai dit à Rin : "Viens, suis-moi, je vais passer dans mon ancienne demeure pour y prendre quelques affaires." Rin reconnu cet endroit... où il avait pourchassé un moment le lapin. Puis arrivé devant le fameux buisson, Shirai le prît par la main et ils le traversèrent. Comme dans son rêve, la ferme se trouvait là... Aurait-il dû suivre ce lapin finalement ce jour là ?

Il n'eut guère le temps de se poser la question, car rapidement ils se remirent en route avec quelques biens supplémentaires de Shirai, afin d’acquérir tout le nécessaire pour la nouvelle saison.

Arrivés en ville, ils se dirigèrent en priorité vers le marché au bétail. La fameuse phrase "Votre bœuf vous le voulez comment ?" retentissait, les deux tourtereaux échangèrent un sourire complice. Une fois vers le marchand, celui-ci dit : "Bonjour Dame Kuroko, et bonjour cher client. Alors votre bœuf vous le voulez comment ?"

Rin fut surprit que le marchand appela sa nouvelle douce moitié par son nom... "Alors vous saviez..." marmonna-t-il. Le marchand eut un sourire énigmatique et lui lança... "Alors ce nouveau bœuf ? Comment ?"

C'est Shirai qui répondit : "Normal, un bœuf tout simple... pour les travaux de la ferme."
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Re: Club d'Invention d'Histoires [C.I.H] V3

Messagepar lorino » 16 Avr 2016, 23:01

Ah oui c'est super long :koO!: Mais avec une publicité comme ça, je me sens obligé de lire :wheartbeat:
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Re: Club d'Invention d'Histoires [C.I.H] V3

Messagepar Elkisab » 16 Avr 2016, 23:32

Je crois que j'ai trouvé l'inspi pour un texte. Je vais prendre quelques notes et je fais cela demain :).
Et je lirais le texte de Haileene demain aussi, il m'a l'air bien sympa et très complet !

Edit : Petite question; est-ce que le texte doit obligatoirement aborder le thème du bœuf ? Car j'ai plutôt l'intention de partir sur un texte de type surréaliste qui n'aborde pas forcément ce thème-là.
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Re: Club d'Invention d'Histoires [C.I.H] V3

Messagepar onilane » 17 Avr 2016, 17:17

Aaaaah je suis à la bourre aussi, j'ai écrit un synopsis et toute ma base mais j'ai pas commencé l'écriture en soi u_u.
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Re: Club d'Invention d'Histoires [C.I.H] V3

Messagepar Elkisab » 17 Avr 2016, 17:24

Moi, je suis à 1k8 mots, j'aurais normalement finis ce soir mais là je fais une petite pause. A tout ceux qui sont en train de préparer un truc : Fighting ! :fight: ( je ne connaissais pas ce smiley il est vraiment sympa )
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Re: Club d'Invention d'Histoires [C.I.H] V3

Messagepar Lena » 17 Avr 2016, 17:43

Non elki ça ne doit pas être sur le boeuf :kxD:

et ne vous en faites pas, je peux repousser le thème d'une semaine, je n'ai pas trop le temps de m'en occuper cette semaine à cause de mon déménagement. :mrgreen:
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Re: Club d'Invention d'Histoires [C.I.H] V3

Messagepar Kúro-Tenshï » 17 Avr 2016, 17:51

Lena a écrit:et ne vous en faites pas, je peux repousser le thème d'une semaine, je n'ai pas trop le temps de m'en occuper cette semaine à cause de mon déménagement.


Sa m'arrange aussi Lena.

Je n'ai eu que des merdes cette semaine, et je n'ai pas trouvé de temps pour la finir (j'ai déjà plus de la moitié de fait cependant et si quelqu'un veut déjà lire, dite le moi)

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Re: Club d'Invention d'Histoires [C.I.H] V3

Messagepar Elkisab » 17 Avr 2016, 17:52

Lena a écrit:Non elki ça ne doit pas être sur le boeuf :kxD:

et ne vous en faites pas, je peux repousser le thème d'une semaine, je n'ai pas trop le temps de m'en occuper cette semaine à cause de mon déménagement. :mrgreen:

Ah kk :), j'en ai discuté un peu avec haileene par MP, et il m'a juste dis de faire au moins une mention ; mais bon au final cela change juste un détail de mon histoire ;), fin bref.
Bon déménagement !
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Re: Club d'Invention d'Histoires [C.I.H] V3

Messagepar Elkisab » 17 Avr 2016, 21:55

Je m'excuse moi aussi pour le double post ! Mais j'ai finis mon récit. J'espère qu'il vous plaira. Dites moi si je suis partis trop loin :k^^>>: , je m'attend à ce que les noms des protagonistes n'aident pas tellement à bien suivre l'histoire mais ils ont leur importance par rapport à la fin. Le récit est un poil moins long que celui de Haileene donc il reste assez conséquent ; je me suis peu attardé sur les descriptions et il doit plutôt être vu comme une sorte de pièce de théâtre en huis clos de type surréaliste.
Voilà, voilà.
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Le Roi est Mort ?


***


« C’est l’histoire d’un voyageur qui un jour se rendit dans un pays lointain. C’était un pays où les nuits et les jours duraient des mois, et où l’air restait en permanence glacial. C’était un empire où prospérité et paix régnait. Tout le monde semblait heureux et en bonne santé. L'Empereur de cette nation était qualifié par sa population de bienveillant et magnanime. Et puis… »
Le conteur s’interrompt pour jeter un regard noir à sa gauche. Un vieillard est en train de jouer sur son téléphone ; un sourire béat orne son visage, des bruits aigus retentissent dans la pièce.
Nous nous trouvons là dans une large pièce rectangulaire, simplement éclairé d’un petit feu crépitant dans la cheminée et de la lueur blafarde de la lune illuminant vaguement l’endroit à travers de petites lucarnes disposées de-ci et de-là sur chaque mur.
Deux hommes se font face à face près de la cheminée, assis confortablement dans des fauteuils, l’un d’eux est le vieil homme.

L’autre se tourne vers le conteur.
« Oh, Louis-Elvis, arrêtez donc ! Vous savez pertinemment qu’il est sourd comme un pot depuis des années. Et puis nous connaissons tous par cœur cette histoire. »
- La question n’est pas de savoir si vous connaissez ce récit ou non mais plutôt si je conte mieux cette histoire qu’un simple roturier. Le Roi n’apprécierait pas de vous entendre proférer de tels propos, Romain-Olivier.
L.E semble pour le moins choqué.

Au centre de la pièce une longue table en bois est disposée. De chaque côté de cette table, il y a deux longs bancs. Un homme est assis sur l’un de ces bancs, accoudé sur la table, sur ses genoux, un petit chat dort paisiblement.
Enfin, un dernier homme habillé avec des habits bariolés est adossé à l’un des murs à l’autre extrémité de la pièce. Il joue au diabolo.
R.O poursuit sa conversation avec le conteur.
« Le Roi, le Roi ; vous n’avez que ce mot en tête depuis des jours. Le Roi a disparu. Le Roi est sans doute mort. »
- Taisez-vous. Taisez-vous si c’est pour déblatérer ce genre d’idiotie.
L.E s’adresse alors à l’homme assis sur son banc.
« Et vous, Ilyès-Esteban-Silvio. Vous qui êtes le plus proche confident et conseiller du Roi. Que pensez-vous qu’il est en train de faire ? Eclairez donc notre lanterne. »
- Comment voudriez que je sache ce qui retient notre Royale Majesté ? Sa Majesté est bien trop complexe et extraordinaire pour qu’un homme tel que moi puisse la comprendre. J’ai renoncé à chercher une signification à ses actions depuis des années.
- Je ne peux qu’acquiescer face à ces propos plein de vérités. Vous devriez arrêtez de douter de sa Majesté, Romain-Olivier, il reviendra tôt ou tard.

R.O soupire.
« Ce n’est pas que je doute du retour du Roi. C’est juste que je crois que je vais finir par sombrer dans la folie à force de l’attendre. J’ai faim et j’ai soif. Que je me pende si notre cher ami Théodore-Ulysse, ne s’ennuie pas lui aussi ! »
- Pas particulièrement, avec tout ce temps, j’ai eu l’occasion de me perfectionner avec l’usage de cet instrument.
T.U indique le diabolo de la tête, tandis qu’il continue à le manier avec dextérité.

I.E.S interpelle lui aussi T.U.
« Tiens d’ailleurs, laissez-moi donc essayer de manier cet objet. Il m’intrigue beaucoup »
I.E.S attrape distraitement le chat et le pose sur son épaule droite, puis il se déplace vers le fond de la pièce.
« Tenez. »
Il tend le chat à T.U, et prend les deux bâtons avec ses mains. Le diabolo est toujours en pleine rotation sur le fil.
« Comment fait-on fonctionner cet engin ? »
- Il vous suffit de battre ce bâton pour maintenir l’objet en rotation sur le fil. Non ! Pas celui-ci ! Espèce d’idiot, vous allez contre le sens de rotation !

Le diabolo tombe au sol et roule jusqu’au centre de la pièce, venant se loger sous la table.
« Aie ! Ce truc est en acier ou quoi ! »

Les quatre hommes semblent interloqués en entendant cette voix vraisemblablement sortie de sous l’immense table _pas le vieillard, lui continue de jouer sur téléphone sans se préoccuper d’autre chose_.
Un homme de petite taille au front dégarnis sors avec difficulté de sous la table tout en se frottant le crâne.
« Mon dieu ! Nathan-Bastien, vous étiez donc là ; nous avions presque oublié votre présence en ce lieu, déclare R.O. »
- Vous n’avez pas presque oublié ma présence mais plutôt totalement ; cela fait des heures que je suis ici.
- Et que faisiez-vous donc sous cette table, l’interpelle L.E.
- Hein. Quoi ? Ah, euh bien je dormais.
- Pourquoi dormiez-vous ?
- Euh bien parce que j’avais envie de dormir que voulez que je vous dise Louis-Elvis !

L.E siffle de mécontentement et de dépit.
« Et si le Roi était arrivé pendant que vous ronfliez sous la table, que serait-il arrivé ! »
- Le Roi ne préoccupe pas de moi, Louis-Elvis. Pas plus qu’il ne se préoccupe de vous, ou de quiconque d’autre que sa propre personne.
- Comment osez-vous ? ! Je rapporterai au Roi vos propos désobligeants !
- Euh bien faite-le, s’exclame N.B, j’en ai assez de toute cette histoire. Vous tous ici, je crois que vous avez complétement oublié qui le Roi est, ou même plutôt était, étant donné qu’il ne reviendra pas.

N.B commence alors à se diriger vers la porte menant vers l’extérieur de la pièce. L.E se place alors précipitamment devant lui, les bras et les jambes écartés.
« Que faites-vous ? Je vous interdis de sortir d’ici ! »
- Et qui vous autorise à me barrer le passage ?
- En ma personne, de conteur personnel de sa Majesté, je me vois dans l’obligation de vous arrêter Nathan-Bastien. Vous autres, il s’adresse aux autres hommes de la pièce, venez m’aider à maîtriser ce voyou.

Soudain, la porte s’ouvre vivement. Une femme essoufflée pénètre dans la pièce.
« Le Roi est mort ! Le Roi est mort ! »

Les cinq hommes sursautent de stupeur, sauf le vieil homme même si il semblerait qu’il ait arrêté de jouer sur son portable car les bruits désagréables ont cessé de résonner dans la pièce.
« Comment ça, le Roi est mort, s’exclame L.E, d’où détenez-vous cette information ? Et puis qui êtes-vous ? »
- Je suis Océane-Edelweiss, c’est moi qui suis en charge de tous les serviteurs du palais. Les cuisiniers m’ont affirmé que le roi était mort, et les servantes le murmurent dans les couloirs du palais. Le Roi est mort ! Le Roi est mort !
- Avez-vous vérifié par vous-même qu’il était mort ?, demande I.E.S.
- Tout le monde le clame dans le palais. Le Roi est mort ! Le Roi est mort !
- Est-ce que parce-que tout le monde hurle au loup, que le loup arrivera ?, indique R.O

O.E semble déconcerté par toutes ces questions.
« Taisez vous bande d’idiot. Le Roi est mort, la question ne se pose désormais plus, déclare N.B »
- Je n’y crois pas, crache L.E, je vais rester ici à l’attendre et il finira bien par…

Brusquement T.U lui coupe la parole.
« Messieurs vous devriez peut-être venir voir cela. »
Il indique d’un geste le fauteuil du vieillard.

« Ah, oui, s’exclame R.O, nous devrions effectivement mettre au courant Ulric-Félix. Dort-il ? Cela fait un moment qu’on ne l’entend plut. »
- Euh bien, commence T.U, c’est-à-dire que…

Le vieil homme repose paisiblement sur le fauteuil, le chat s’est enroulé confortablement sur ses genoux. Les yeux d’U.F sont vitreux. U.F est mort.
« Mon dieu, avec le Roi, Ulric-Félix nous a quitté, murmure R.O. »
- Le Roi n’est pas mort bande de fou, vocifère L.E.

Finalement O.E reprend la parole.
« Le Roi est mort ! J’en suis sûr. Les cuisiniers ne se trompent jamais. Il nous faut donc un nouveau Roi. L’un de vous doit être le nouveau Roi. »
- Je la crois, déclare R.O, et oui il nous faut un nouveau Roi. Et vous autre qu’en dites-vous ?
- Je la crois moi aussi, dis I.E.S.
- Moi, aussi, dis T.U.
- Bien entendu qu’elle dit vrai, articule N.B, mais avons-nous vraiment besoin d’un nouveau Roi.
- Suis-je le seul à avoir un minimum de bon sens ici. Si le Roi avait succombé sa dépouille nous aurait été amenée, s’écrie L.E.

R.O se déplace tranquillement vers le centre de la pièce et s’assis sur l’un des bancs.
« Très bien, admettons que le Roi n’est pas mort et que tout ceci n’est que pure fabulation. Il nous faut tout de même élire un remplacent au cas où le Roi ne revienne jamais. »
- Vous, je suppose, déclare L.E, sarcastique.
- Et pourquoi pas. Je me pense assez qualifié pour l’être.
- Respecterez-vous au moins toutes vos promesses comme un honnête dirigeant, demande I.E.S.
- Bien entendu, je serais un Roi parfaitement honorable et respectable.

I.E.S esquisse un sourire narquois.
« Très bien, dit-il, j’ai souvenir que vous avez déclaré plus tôt, que vous vous pendriez si Théodore-Ulysse ne partageait pas votre ennuis. »

R.O parait alors très déconcerté par l’observation de I.E.S. L.E émet un petit rire de satisfaction, il comprend vers quoi le conseiller veut en venir.
« Très bien, déclare solennellement R.O, pour montrer mon honnêteté, je vais honorer cette ‘’promesse ‘’ immédiatement »
Il se met debout sur le banc puis monte sur la table.
« Quelqu’un ici aurait-il une corde ? J’ai besoin d’une corde. »

I.E.S et L.E se lancent des regards interloqué, T.U a recommencé à faire du diabolo de l’autre côté de la pièce et semble se moquer de toute autre chose pouvant le distraire de son activité ; N.B et O.E sont toujours sur le pas de la porte.
« J’ai peut-être ce qu’il vous faut, dis N.B »
Il commence alors à défaire la corde qui sert de ceinture à son pantalon.
« Que faites-vous là ?, O.E demande circonspecte, Vous n’allez tout de même pas… »
- Ne vous inquiétez pas. Cette ceinture n’est pas vraiment nécessaire pour tenir ceci.

Il lance ce semblant de corde à R.O, toujours debout sur la table. Ce dernier l’attrape en plein vol d’une main.
« Merci, je pense que cela fera l’affaire. »
- Vous êtes complètement fou, Romain-Olivier, s’exclame L.E, vous iriez jusque-là pour prouver votre bonne foi.
- Assurément
- Laissez-le faire Louis-Elvis, ajoute I.E.S, il ne fera rien.

R.O lance un regard de défi à I.E.S. Il touche avec sa main le plafond de la pièce.
« Vous ne me croyez pas. Très bien. Regardez alors. »
Il passe la corde autour d’une des poutres au-dessus de la table. La corde pend dans le vide une cinquantaine de centimètre après l’extrémité de la table. R.O s’attèle alors à former un cercle assez large avec le bout de la corde afin que sa tête passe.
« Ne faites pas l’idiot, dit L.E »

R.O se met sur la pointe des pieds, il passe sa tête à travers le nœud du pendu. Il tire un peu sur la corde pour bien tester sa résistance. Il s’avance vers le bord de la table. Et puis d’un coup, il saute en avant, la corde se tend abruptement.
Dès l’instant où son corps se retrouve pendu dans les airs sans aucun support sur lequel ses pieds pourrait s’appuyer, le regard de R.O se remplit d’un effroi idiot. Il tente vainement d’agripper le nœud du pendu. Puis son visage se fige dans une expression de totale incompréhension. Ses deux bras retombent, pendant mollement dans le vide. Le silence règne dans la pièce.

Puis un gargouillement résonne dans la pièce.
« J’ai faim, déclare T.U, je mangerais presque ce chat, s’il n’était pas aussi mignon. »
- Je n’ai pas le souvenir que Romain-Olivier était aussi absurde, dit I.E.S
- C’est la première fois que je vois une mort aussi,… aussi stupide, ajoute L.E, A-t-il cru que la corde céderait sous son poids ?, ajoute L.E.
- Au moins, il a au moins eu l’occasion de vous prouver sa sincérité. En attendant je dois récupérer ma ceinture maintenant.

N.B se dirige à son tour vers la table.
« Théodore-Ulysse aide moi à le détacher. Je n’y arriverai pas seul. »
- Pourquoi t’aiderais-je ? Le Roi ne nous autorise pas à toucher les morts.
- Oui. Mais le Roi ne nous autorise pas non plus à regarder quelqu’un attenter à sa vie sans rien faire.

T.U soupire et se traîne lentement vers la table puis grimpe dessus, N.B le suit.
« Tiens ses jambes sur tes épaules pour enlever la pression sur la corde. »
- Pourquoi tu me laisse tout le sale boulot, se lamente T.U.
Mais il obtempère et s’applique à soulever le corps de R.O.
« Mon dieu, comment peut-il être aussi lourd alors que cela fait des jours qu’il n’a rien mangé »
- Je ne te demande pas le toucher, Théodore-Ulysse. Je te demande de la soulever. Applique-toi d’avantage.

Finalement N.B réussi tant bien que mal à décrocher sa ceinture. Le corps de R.O s’écroule sur le sol entraînant dans sa chute T.U.
« Bon dieu de merde ! Nathan-Bastien préviens la prochaine fois. Saloperie ! »

T.U se relève tant bien que mal et pousse loin de lui R.O. Le corps de ce dernier, gémit. I.E.S s’approche lentement de lui et approche son visage de la face du cadavre.
« Excrément de Clebs, ce cinglé respire encore ! »

I.E.S se tourne vers L.E.
« Je crois que cette fois nous allons devoir accepter de le nommer Roi »
- Et pourquoi devrions-nous faire cela, s’exclame L.E, le Roi n’est pas mort. Et quand bien même je doute que cet idiot se relève, vu son état je pense qu’on peut déjà le considérer comme mort.
- Ne me dites pas que vous croyez encore réellement que le Roi n’a pas succombé. Finalement je pense que vous êtes encore plus idiot que Romain-Olivier.
- Océane-Edelweiss a elle-même dit qu’elle n’a pas vérifié cette information.
- Ce n’est pas un problème, balbutie O.E, dans la mesure où la totalité des personnes que j’ai croisé sur mon chemin me l’ont affirmé je ne peux pas croire le contraire sans paraître idiote.
- Le Roi n’est pas mort !, affirme une fois de plus L.E, il ne nous aurait pas abandonné.

Tout d’un coup, T.U frappe son poing sur la table de la pièce.
« Arrêtez cette hypocrisie Louis-Elvis ! Vous savez pertinemment que la mort du Roi représente notre salut. Elle est nécessaire. S’il reste en vie nous allons tous crever ici !
- Comment pouvez-vous vous permettre de débiter de telles bêtises ! Je devrais vous exécuter sur place.

I.E.S et N.B regarde T.U comme s’ils regardaient une chose incompréhensible.
« Allez-vous bien, Théodore-Ulysse, marmonne N.B, vous êtes sûr que vous n’êtes pas en train de délirer à cause de la faim. »
- Pour une fois je suis en accord total avec Louis-Elvis. Que racontez-vous là ? Vous êtes définitivement en plein délire.
- Les seuls à délirer dans cette pièce, c’est vous trois, bande de fous ! Savez-vous au moins depuis combien de temps sommes-nous coincé ici ? Et pourquoi sommes-nous coincé ici ?, hurle T.U.
- Euh bien…, commence N.B

- Mon dieu ! Le Roi est là ! Le Roi est là, s’exclame soudainement O.E.
Son regard est tourné vers l’extérieur, ses yeux s’illuminent de bonheur. Un lit baldaquin porté par quatre serviteurs s’approche lentement de l’entrée de la pièce. O.E s’attèle précipitamment à ouvrir en grand la porte, puis elle se place à côté d’elle, dressée comme un pic.

Pendant ce temps, I.E.S, L.E et N.B se ruent vers le centre de la pièce et se mettent au garde-à-vous. T.U, lui reste immobile, il observe l’avant du lit pénétrer dans la pièce sans manifester aucune forme d’émotion. R.O gît toujours au sol, qu’il soit mort ou vivant n’a finalement aucune importance. Le chat, lui s’est soudainement dressé, il s’élance vers le lit.

Puis, le chat se lèche les babines, T.U aussi.

« Enfin !, rugit-il, Enfin ! J’ai cru que j’allais mourir de faim ! »

Les serviteurs déposent le lit au sol. Sur les délicates et moelleuses couvertures, siège un Royal et Magnifique Bœuf !
Modifié en dernier par Elkisab le 27 Avr 2016, 00:43, modifié 3 fois.
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Re: Club d'Invention d'Histoires [C.I.H] V3

Messagepar Yumichang » 17 Avr 2016, 23:54

Coucou tout le monde !!!
Je m'excuse pour le retard, j’ai eue tellement de choses à faire pour les cours cette semaine, que je n’ai pu prendre qu’aujourd’hui ma journée pour vous écrire ma petite histoire !!!
Enfin elle n’est pas petite, elle est même plutôt longue :kwrite:
Car comme Haileene, j’ai eu beaucoup de mal à faire court :kxD:
Comme thème, j'ai choisie le lapin de pâque et l'histoire fait un peu conte.
Sûr ceux, je vous souhaite une bonne lecture, j’espère qu’elle vous plaira !!!


Spoiler: Voir
Le lapin de pâque

Notre récit nous plonge dans l’aventure de Lucie, une jeune fille d’à peine 16 ans, aux longs cheveux bruns et aux beaux yeux dorés. Si nous devions la décrire au niveau de son caractère nous dirions qu’elle était quelqu’un d’assez joyeuse, gentille mais beaucoup trop curieuse. C’est d’ailleurs sa curiosité qui lui fera vivre une drôle d’aventure… que je vais vous comptez aujourd’hui.

Un jour qu’elle rentrait de l’école, elle vit apparaître devant elle, une jolie petite librairie. Fort étonné de son ouverture qui n’était prévu nulle part, elle décida d’y faire un tour avant de reprendre sa route vers la maison.
Quand elle ouvrit la porte un petit son de cloche retenti, cela permettait au propriétaire de savoir que quelqu’un venait de pénétrer à l’intérieur du magasin. Pourtant la jeune fille n’y trouva personne, juste des tas de livres éparpillés à droite et à gauche. Elle fit un tour de la boutique à la recherche d’un éventuel gérant, mais rien… Il n’y avait pas âme qui vive. Alors ne trouvant personne, elle pensa à reprendre son chemin.

Soudain, elle entendu un bruit venant du fond de la boutique. Sa curiosité la poussa donc à aller y jeter un coup d’œil, mais au moment même où elle s’apprêta à ouvrir la porte, une main l’attrapa sec par le bras. L’inconnu qui se trouver devant elle devait être dans la tranche d’âge de la vingtaine. Il était aussi élégamment vêtu ; il portait une chemise blanche avec pour accessoire une cravate bleue nuit assortie à son jeans ainsi qu’un pull en laine marron clair et un joli blazer brun. Son look lui donnait un petit air anglais très mignon.

Il la regarda très attentivement et puis lui demanda d’une voix un peu sévère ce qu’elle faisait là et pourquoi allait-t-elle ouvrir la porte, alors qu’un gros panneau « accès interdit » était noté juste devant.
Lucie: Et bien j’ai entendu un bruit venir de cette pièce, alors j’ai pensée que je trouverai quelqu’un…

Le jeune homme eu l’air inquiet…: Ah je comprends, c’est certainement quelques livres qui ont dû tomber ne t’en fait pas. Sinon, je vais te paraître désagréable mais pourrais-tu s’il te plait revenir une autre fois, car nous avons encore des choses à réglé avant la véritable ouverture qui est demain ?

Lucie : Ah oui bien sûr, pas de problème, je repasserai demain alors, au revoir et merci !

Le jeune garçon l’a salua et retourna terminer son travail.
Toute obéissante, elle s’apprêta à sortir quand d’un coup, le bruit se répéta ! Ce qui la fit se rétracter en l’a poussant à aller voir encore une fois.

À l’intérieur, elle y trouva un ouvrage ancien à la reliure dorée, elle décida d’y feuilleter quelques pages et se rendit vite compte qu’il s’agissait d’un vieux livre de conte, relatant l’histoire du lapin de pâque.

Au moment même où le jeune garçon réapparu, en se jetant quasiment sur le livre pour le refermer, il fut malheureusement trop tard et tout deux s’y firent absorber. Quelques minutes plus tard, ils se retrouvèrent dans une forêt joliment habillée d’arbres de toutes les couleurs possibles. Lucie n’en croyait pas ses yeux, comment un monde comme celui-ci pouvait-il existé ?? Elle était tellement fascinée, qu’elle en oublia qu’elle était dans le pétrin et surtout qu’elle n’y était pas seule. Bien entendu, le garçon lui remis vite les idées en place en se mettant a haussé le ton,

… : Mais qu’est ce que tu as fait ! Je t’avais pourtant demandé de partir…

Lucie : Heu...Je suis vraiment désolée... Je n'aurais jamais cru qu'une chose pareille se produirait...

Le garçon : Hum… Bon maintenant ce qui est fait et fait… Sache déjà que tout ça n’est pas un rêve, nous sommes vraiment à l’intérieure du livre et le seule moyen d’en sortir et de parler au héros de cette histoire.

Lucie : oh… Et qui est ce ??

Le garçon : Et bien… ça va te paraître dingue… Mais c’est le lapin de pâque ! Lui seul possède l’a copie du livre de notre monde, que nous somme obliger de consulté pour pouvoir rentrée chez nous !
La jeune fille, le regarda avec de grand yeux et croyant à une plaisanterie se mis à rire, mais voyant que le garçon était très sérieux et surtout l’air agacer, elle lui demanda,

… : Heu pardon, c’est juste que tout ça parait tellement fou… Mais comment est t’il possible que ce monde existe ?

Voyant que les choses n’allaient pas bouger s’il restait dans le silence, il décida bien malgré lui de répondre à ses questions et se présenta sous le prénom de Luca. Il lui expliqua qu’il était le fils du gérant et que se serait assez problématique, s’il finissait par ne pas se mettre en route toute suite. En effet si au bout de 24 heures ils ne réussissaient pas à trouver le deuxième livre, ils finiraient par y rester coincé à vie…

C’est donc sur cet avertissement que tout deux entreprirent leur chemin. Dans cette forêt enchantée, ils virent beaucoup de choses comme des fées, des lutins, des lacs de chocolats, des nuages de barbe à papa et d’autres choses plus merveilleuse les unes que les autres.

Puis plus loin dans la clairière, Luca s’arrêta devant un bel arbre aux feuilles rouges, vertes et oranges. Il y cogna 3 fois et là une grande porte en forme d’œuf de pâque apparu, il agrippa le bras de Lucie et y plongèrent tout les deux. De l’autre côté se trouvait un long chemin qui arboré sur les côtés des fleurs en bonbon et autres sucreries… Ils empruntèrent cette route, jusqu’à ce qu’ils arrivent devant une petite chaumière.

Lucie, commença de nouveau à se questionner et fini par demander à qui était cette demeure…

Luca : C'est la maison du lapin de pâque.

Lucie : Comment le sait-tu ?

Luca (air agacé) : Car j’y suis déjà venu. Moi aussi j’ai été imprudent et trop curieux, tout comme toi à une époque….

Lucie était un peu gênée et lui dit que c’est ce qui faisait son charme, sans ce petit défaut, elle ne serait pas ce qu’elle est ! Elle avait répondu de manière si pure, qu’il ne pu s’empêcher de rire, ce qui gêna notre héroïne encore plus.

Au moment, où il voulut repasser aux choses sérieuses, la porte s’ouvrit et ils tombèrent nez à nez avec le fameux lapin de pâques. Celui –ci, étonné d’avoir des invités, leur proposa de rentrer et de lui raconter le pourquoi de leur venu. Il faut savoir que le fameux lapin était de couleur beige avec un beau nœud mauve et de jolis yeux marron glacé. En somme, il était adorable et Lucie n’aurait voulu qu’une chose, c’était de ce jeter sur lui pour lui faire un câlin. Mais sous le regarde de Luca qui lui faisait bien comprendre de ne pas faire de bêtise, elle s’abstenue. En entendant leur histoire le lapin accepta de les aider à la condition, de lui préparer un bon cacao chaud avec le chocolat qui venait de la montagne choco. Il expliqua à nos deux amis, que le rochet n’était qu’à 30 minutes de marche d’ici et qu’elle été très facile d’accès. Nos deux héros n’eurent pas d’autres choix que d’accepter. Ils se remirent directement en route voyant que l’heure tourner. Avant de partir, le lapin leur donna un sac rouge où mettre leurs récoltes.

Ils arrivèrent très vite et trouvèrent facilement ce qu’ils étaient venus chercher. Mais une fois sur le chemin du retour, un énorme tremblement les fit perdre l’équilibre… et Lucie glissa, elle se rattrapa à une branche d’arbre et fut remonté de justesse. Malheureusement, tout le chocolat récolter était tombé dans le précipice. Luca regarda sa montre et se rendit compte qu’il avait déjà perdu beaucoup de temps. Malgré ça, ils décidèrent d’aller reprendre du chocolat, ne pouvant quand même pas rentrer les mains vides. Ils ne leurs restaient plus que 35 minutes avant la fin des 24 heures, alors ils se mirent à courir aussi vite qu’ils le pouvaient.

Arriver enfin à la demeure du lapin de pâques, ils lui offrirent le chocolat et lui demandèrent vite le livre. Mais avant même qu’ils n’aient le temps de toucher l’ouvrage, les cloches sonnèrent la fin de la journée…

Lucie et Luca horrifiés, s’effondrèrent. La seule chose qu’ils se répétaient était quel aller être leur sort maintenant…

Lucie se m’y à pleurer et se rendit compte que tout était de sa faute depuis le début, elle ne pu que s’excuser auprès de Luca.

Le lapin de pâque, content de son cacao chaud et voyant le désarroi de nos héros, leurs offrit deux œufs en chocolat magique. En effet, en le mangeant ils pourraient rentrée chez eux. Toute heureuse Lucie ne pu plus s’empêcher d’enlacer notre ami et elle et Luca le remercièrent.

A peine y avaient-t-ils croqué un bout, qu’ils étaient de nouveau revenue dans le grand débarra où se trouvait le livre.

Luca attrapa le bouquin et le plaça dans un coffre qu’il ferma aussitôt à double tour, il demanda ensuite à Lucie de garder le secret de ce qui c’était passer et l’invita également à venir à l’ouverture de demain.

Suite à cette aventure, Luca et Lucie devinrent bon ami, et se remémoraient souvent leurs périples. Elle lui promit d’ailleurs qu’à l’avenir elle serait moins curieuse. Mais ça c’était avant d’avoir vu, l’ouvrage à la reliure Rouge écarlate… Bien entendu ceci est une autre histoire.
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Re: Club d'Invention d'Histoires [C.I.H] V3

Messagepar Elkisab » 18 Avr 2016, 02:27

Je viens de lire vos deux textes, haileene et yumichang. Tout ce que je vais dire pour le moment c'est que les récits ont deux styles bien différents mais ils se lisent chacun d'eux très fluidement. Je poserai une critique plus détaillées demain mais en tout cas je sens qu'on va avoir le droit à plein de textes sympa pour ces deux thèmes !
Sur ce, bonne nuit !

PS : pour le MMFC, Mikoto est une vieille peau (oups je viens de perdre toute chance de votes pour mon histoire :kgomen1: )
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Re: Club d'Invention d'Histoires [C.I.H] V3

Messagepar haileene » 18 Avr 2016, 12:33

Elkisab a écrit:PS : pour le MMFC, Mikoto est une vieille peau (oups je viens de perdre toute chance de votes pour mon histoire :kgomen1: )

Oooohhh le SPOIL :wgnaha: :kxD:
Sinon, j'ai eu beaucoup de plaisir à lire vos histoires aussi, et en effet, sur cette session, du coup on a beaucoup à lire :kglinse:

Perso, je ne pense pas que je ferai de critiques, car j'ai surtout envie de continuer à vous lire, donc sans un MP de la part des écrivains pour discuter en privé, je me tiendrais à des félicitations pour votre courage, votre inventivité, et votre temps passé pour nous donner un *petit* moment de plaisir (pas si petit que ça du reste)

Je me réjouis de voire encore d'autres histoires fleurir, courage à ceux qui sont encore en pleine création.
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Re: Club d'Invention d'Histoires [C.I.H] V3

Messagepar Kúro-Tenshï » 18 Avr 2016, 18:22

Si vous voulez un conseil, plutôt que de garder le format du forum, voici un petit site bien sympa pour uploader vos histoire : http://textup.fr/

Petite explication : depuis un de mes premiers textes qui faisait 12 pages, j'ai trouvé ce site et c'est vraiment bien pour la mise en page.

Sur ce, je posterai surement mon histoire ce soir

Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité


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Re: Club d'Invention d'Histoires [C.I.H] V3

Messagepar _Baarzourlalgulf » 18 Avr 2016, 19:05

Bon, vu qu'il y a pas mal de participant et que le thème m'inspire pas des masses mes chances de participer baissent de minute en minute x))
qui veut jouer au scrabble avec moi svp candidature en dm

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Re: Club d'Invention d'Histoires [C.I.H] V3

Messagepar Elkisab » 18 Avr 2016, 19:45

Courage Baarzou :fight: !

Et sinon pas mal ton site kuro mais bon je pense que pour les thème du CIH qui ne dépasseront jamais les 4k de mots (enfin on sait jamais) poster sur le fofo reste convenable :).
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Re: Club d'Invention d'Histoires [C.I.H] V3

Messagepar lorino » 23 Avr 2016, 11:05

Enfin lu le texte d'Haileene pour commencer ... et bien je dis bravo ! C'est super bien écrit et donc ce fut très agréable à lire pour moi. Ahah les boeufsavec le nom des personnages de To Aru :kxD: C'est vrai que je ne m'attendais pas à ce type de clin d'oeil :kxD: En arrivant à la fin je me suis dit que la fin était un peu rapide, mais en fait non c'est pas mal comme ça on réfléchit nous même et on tire l'explication que l'on veut pour ces étranges évènements ^^ Tout de même, j'ai l'impression qu'il y a quelque sens qui m'échappe sur la dernière phrase, un sens caché derrière un buisson sûrement :koO!:
Spoiler: Voir
Je retiendrais la meilleure phrase : "Il enlaça donc tendrement [Mikoto]" :kxD: Et quelle bad ending, il choisit Shirai plutôt que Mikoto :koO!: :k^^>>:

"Josei Ten-in Tanima" J'aime beaucoup ce nom de village, ça vient de quelque part ?

Bref, on se croit à la campagne dans un monde calme et simple, très réussi :wheartbeat:

Spoiler: Voir
Les petites fautes que j'ai repérées au passage pour améliorer ton texte ;) (enfin je ne suis pas sûr pour tout ...)
>> et en effet, rien de notoire ne se passa
>> il commençait à devenir de plus en plus intriguant
>> un étranger qu'il avait vu, mais dont il ne s'était soucié, s'approcha de lui
>> mais pas avant que Rin ne prît le temps
plutôt "n'eût pris" ou "n'ait pris" je pense ?
>> compagnie plus douces
>> prononçant
myanimelist : http://myanimelist.net/animelist/lorino | my visual novel list : https://vndb.org/u104982/

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♡ Merci à Lena pour cette bannière superbe ♡

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Re: Club d'Invention d'Histoires [C.I.H] V3

Messagepar haileene » 23 Avr 2016, 16:31

lorino a écrit:Tout de même, j'ai l'impression qu'il y a quelque sens qui m'échappe sur la dernière phrase, un sens caché derrière un buisson sûrement :koO!:

Merci Lorino pour tes comms. Et pour le buisson, non, rien de caché en double sens (pour une fois mon dieu... :kxD: ), si tu te rappelle dans mon histoire... il n'a pas osé passer le buisson en pourchassant le lapin durant son premier voyage... mon clin d’œil qui fait que j'aurais pu bifurquer sur n'importe lequel des deux thèmes.
Spoiler: Voir
Mais en même temps... s'il avait passé ce même buisson... il aurait directement trouvé Shirai...


lorino a écrit:"Josei Ten-in Tanima" J'aime beaucoup ce nom de village, ça vient de quelque part ?


Rhooo :wgnaha: , tu avais pas de meilleure question que de mettre le doigt sur un majestueux FAIL de ma part ??? je voulais *vallée venteuse* en japonais et je me suis pas rendu compte de au lieu de *venteuse* il a sélectionné *vendeuse*... :koO!: :kxD: sinon j'espère que vous avez aussi saisi le *Mukashi mukashi* du début :perdu3:

Sinon pour les fautes, tu as sûrement raison, surtout pour les conjugaisons et temps des verbes, j'ai toujours été une grosse merde avec ça et je n'ai jamais réussi à apprendre les règles, ce qui fait que je fais au feeling...
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Re: Club d'Invention d'Histoires [C.I.H] V3

Messagepar Yumichang » 23 Avr 2016, 20:29

Coucou tout le monde !!
Alors je viens enfin de lire les 2 histoires posté pour l’instant, par Haileene et Elkisab.
Pour commencer, je voudrais déjà dire un grand bravo à vous 2, les idées étaient vraiment bonnes !!!

Mon Avis global :
J’ai beaucoup apprécié découvrir vos 2 univers, que j’ai trouvé bien raconter. L’imagination était vraiment au rendez-vous !

Haileene :
J’ai adorée ton histoire, j’ai vraiment eue l’impression d’être à la campagne (tu décris bien je trouve).
J’ai aimée, que tu es un peu mélanger les 2 thèmes, c’était une bonne idée =D
J’ai apprécié également, les différents perso de ton aventure, surtout ce marchant chelou hahaha :kxD:
Et j’avoue avoir était un peu triste pour Mikoto :blpleur: pauvre bête (petit passage émouvant de ton histoire).

Au final, histoire génial, très bien raconter et agréable à lire =D

Elkisab :
Ton texte était super, je l’ai trouvé tellement tiré par les cheveux que ça ma fait rire !!
Je suis contente d’avoir eue une fin aussi folle que le départ :kxD:
Il y avait beaucoup de noms, j’ai pensée au début que ça aller être dure de suivre (comme tu l’avais sous entendu). Mais au final non, j’ai trouvée chaque perso intéressant, ils avaient tous une personnalité qui leurs étaient propre et cela à donner du charme à ton histoire.

Au final, j’ai beaucoup aimé ton histoire qui était vraiment loufoque et qui pour moi a était agréable à lire!!!

En conclusion
Beau boulot à vous 2!!! Un grand BRAVO, pour votre travail et merci pour le bon moment que j’ai passé ! :wheartbeat:

Ps : Hâte de découvrir, les autres histoires qui vont arriver et courage à nos auteurs pour la suite!! :kwrite:
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Re: Club d'Invention d'Histoires [C.I.H] V3

Messagepar lorino » 23 Avr 2016, 21:00

Yumichang a écrit:Et j’avoue avoir était un peu triste pour Mikoto pauvre bête (petit passage émouvant de ton histoire).

On est d'accord ! :mrgreen:
(tu connais To Aru d'aileurs ?)
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Re: Club d'Invention d'Histoires [C.I.H] V3

Messagepar Yumichang » 23 Avr 2016, 21:48

lorino a écrit: (tu connais To Aru d'aileurs ?)


Si tu me parle de To Aru Majutsu no Index ou de To Aru Kagaku no Railgun S...
Je connais les 2 que de nom, j'ai pas encore regarder, (y a tellement d'anime c'est dure de tout voir :kgomen1: )
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