Un homme grand d'une cinquantaines d'années, la peau ravagée par les années passées en Légion Etrangère, pris la parole. Helen l'avait reconnu au moment même ou elle le vît c'est le commandant des armées de sa majesté.
- En effet, lors de l'opération "Tonner de Zeus", visant l'extraction en zone ennemie de Helen Stanford, nous avons découvert cet homme. *clic* Voici sa photo. D'après ses dire il fut capturé par l'ennemi et gardé captive durant plusieurs jours dans ce centre. *clic* Son nom est Dr E. Febbs. Il serait toujours d'après ses dire un employé de la société WHC. Nous avons bien évidement vérifié ces informations. Et il travail bel est bien pour cette entreprise pharmaceutique. C'est même l'une de leur plus gosses têtes. Cependant... nous n'avons pas put, encore vérifié ses dires au sujet de la raison de sa présence en Russie.
- Mais que diable prépare-t-il ? WHC ! Une arme génétique ? s'insurgea une femme aux pommettes creusent, assisse à deux sièges d'Helen.
Cette fois-ci encore Helen reconnut cette personne. C'est évident qu'elle la reconnut, puisque c'est Sophia la responsable de sa section au Services Secrets. *ah que ce visage m'a manqué* pensa Helen, en buvant une gorgé de se délicieux Thé que l'on venait de lui servir. *Que de visages familiers ! Je suis enfin chez moi.*
- Helen avez-vous eut contact avec cet homme ?
La photo du Dr E. Febbs s'étalait devant les yeux de Helen. C'était un homme d'une trentaine d'année, tout juste. Penser qu'il était un brillant scientifique le rendait quelque peut intrigant. Helen plissa les yeux essayant de déchiffrer un quelconque indice sur lui. Elle sentis le regarde de l'assistance se diriger vers elle. Visiblement elle mettait trop de temps à répondre. Elle avait beau se concentrer mais...
- Non, je ne l'ai jamais rencontré.
- Le problème, c'est que lui semble bel est bien vous connaître ! objecta un membre de l'assemblé. Il affirme que vous aviez un rendez-vous en Russie. Que le lieu qui était prévu était une ruelle déserte et délabrée. Il affirme également que lorsqu'il se rendit à cette dites rencontre, il s'est... comment dire fait enlever par une sorte de fou, du nom de Doc. Ou quelque chose comme ça. Avez-vous quelque chose à ajouter ? termina-t-il avec sont petit sourire narquois.
Une étincelle s'alluma dans l'esprit d'Helen. C'était lui qu'elle devait rencontrer. C'est lui la raison de sa présence en Russie. De son errance dans cette ruelle dévastée. Il fallait qu'elle lui parle. S'il était vraiment ce scientifique qui l'avez contacté il y a plusieurs mois, il avait des information importante à lui transmettre.
Helen se redressa sur son siège et laissa s'échapper.
- Où est-il ?
- Alors vous le connaissez ! repris l'homme au teint blafard, avec un air théâtral.
*Je ne l'ai jamais aimé, celui-là !* pensa Helen en soutenant le regard de cette carcasse livide au teint pal, qui semblait plus mort que Roland. Et pourtant lui y est passé deux fois. *Quel enfoiré ! Il va essayer de me coincé !*
- Je ne l'ai pas rencontré, comme il vous l'a précisé. Me semble-t-il ? Francis !
- Très bien, quelqu'un vous conduira auprès de lui plus tard. intervint le vieil homme au rétroprojecteur. Pour le moment, continuons avec le second point de cette réunion. Vous en avez tous entendus parler, je suppose.
Un murmure parcourut l'assemblé. Helen se demandait de quoi il parlait. Elle essaya d'entendre des brides de conversation dans ce ronflement digne du vent fort de la côte écossaise. Mais le seul mots qu'elle entendit se répéter était impossible. Elle se retourna vers le vieil homme qui la regardait et dont la scène principale ne semblait pas intéresser. Il lui adressa un petit sourire triste et repris la parole.
- Il semblerait que lors de la mission, nos agents on eut la surprise de reconnaître l'un des protagoniste de cette sombre histoire, qui a était ton enlèvement. Cette personne n'est autre que Peter.
Le murmure repris et s'intensifia encore. Cette fois Helen entendait très bien les phrase prononcées.
"C'est impossible !" "Soyez réaliste ! Il mort !" "Comment aurait-il put survivre à ça !"
Et pourtant elle le savait, il était bel et bien vivant !
- Laissez moi terminer ! reprit le vieil homme autoritaire. Nos agents sont formels ! Il s'est enfuit avec le membre du Conseil des Neufs, par un passage secret.
L'assistance fut parcourut par la consternation et l'irritation. On entendait des,
"Mensonge !" ou "Vous rendez-vous compte" "C'est de l'hérésie" "Des affabulations, voilà tout"
Ces phrase flottaient dans l'air autour d'Helen qui se crispa sur son siège. Elle se demandait pourquoi Peter, s'il était là, n'avait pas fuit. Pourquoi ? Aurait-il changé de camp ? Ce n'est que la voix de Sophia qui la fit revenir. Helen, dit-elle avec une certaine tendresse. Helen observait le visage de Peter sur la toile blanche et se demandait se qu'elle devait faire. Devait-elle affirmer ou nier cette partie de l'histoire. Cette bataille, qu'elle menait seul dans son esprit, transparaissait sur son visage. Et Sophia ne manqua pas de le remarquer.
- Helen, cela ne doit pas être facile pour vous... elle fit une pause, puis reprit. Mais voyez-vous les hommes qui vous ont récupéré sont formels. Peter,c'est bel et bien enfuit avec un membre du conseil des 9. Comprenez que nous devons savoir.
Un silence glacial s'abattit sur le comité. Tous attendaient la réponse. *J'avais donc raison. Il n'est plus mon allié. Mais alors pourquoi ? Pourquoi m'avoir sauvé de la folie ? A quoi pensais-tu vraiment, Peter ?*
- Oui. Oui, il était bien présent. acheva-t-elle par déclarer
*Perdu, encore est toujours voilà ce que je suis. Ca commence à bien faire ! J'en ai un peux marre de cette situation ! Et quand je pense que j'y suis retourné pour le chercher ce con ! Je pourrais me gifler moi-même, tiens ! Mais quel enfoiré ! Que je pense que tu m'a fait injecter cette merde d'hystéria ! Hytéria ! Il ne savent rien de l'Hystéria ! Comment c'est possible ? Edward Febbs ! Il doit savoir plus que ce qu'il leur a dit. Il faut que je lui parle !*
La salle se vidait, c'était la fin de la réunion Helen restait assise les yeux fixé sur les décors raffinés de se tasse. Une main se pausa sur épaule. C'était Sophia, "J'ai fini, viens. Je te ramène à ta chambre." Elle s'arrêta qu'une arrivé devant la chambre d'Helen et Sourit.
- Je t'ai fait préparer des affaires pendant la réunion.
Elle ouvrit la porte, le visage rayonnant. L'intérieur de la chambre était totalement transformé en dressing.
- Tu ne peux décidément pas te balader dans cette tenue. Je te laisse choisir. On se retrouve dans la petite salle d'attente au milieu du couloir.
- Sophia, merci !