Fanfic sur Zero no Tsukaima [POUR PUBLIC AVERTI -12ans]

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Fanfic sur Zero no Tsukaima [POUR PUBLIC AVERTI -12ans]

Messagepar tommyvercetti » 13 Mai 2014, 11:50

Bonjouuuuuur à ceux qui passent par ici.
Alors voila, il y a quelques années j'ai écrit une courte fanfic sur Zero no Tsukaima. Rien de bien grandiose, ni sans grandes prétentions, mais je me suis dit que ça serait un bon endroit pour la poster, également, puisqu'elle est depuis tout ce temps sur "fanfic-fr.net". Leur système de censure demandait à ce que ce soit un 13+ (rien de folichon donc, mais quand même), mais bon, je ne sais pas comment ça se passe ici, donc à vous de faire le choix. J'espère qu'elle plaira aux amateurs de l'anime. Je vous copie le descriptif, en guise d'intro. Bonne lecture.


[13+] Zero no Saito
Écrit par : tommyvercetti
[ Animes-Mangas ][ Zero no tsukaima ]
Genres : Romance, One-Shot, Erotique.
[Publiée le: 2011-09-19] [Mis à Jour: 2011-09-19]

Voila, parce qu'au bout d'un moment les japonais ils sont énervants dans les animes, à ne jamais rien faire.

C'est une courte scène racontant un début de préliminaires entre Saito et Louise. Le rythme est lent à dessein ; le but étant que le lecteur s'immerge dans les description et le ressenti de l'un ou l'autre personnage ; l'introspection alterne. J'ai essayé de retranscrire au tout début l'ambiance de l'anime, puis de glisser vers la poésie et le romantisme en décrivant les ressentis et pensées des protagonistes.


C'était une journée ensoleillée à l'académie de magie de Tristain. Loin des guerres ou autres conflits intestinaux, le calme était enfin revenu. L'après-midi voyait la présence de nombreux élèves à l'extérieur, qui s'étaient tous vus dispensés de cours pour le reste de la journée en raison de réunions professorales.
Dans le calme relatif du campus, une déflagration se fit soudain entendre, et toutes les têtes se retournèrent. Un instant seulement, avant de retourner à leurs occupations. Ici, c'était chose courante, et chacun savait de ce dont il était question. La Zero, encore une fois, qui ratait un sort. Un pensée de chacun se porta rapidement sur la victime de l'échec de la Zero : son familier. La servante Siesta, qui avait quitté ce dernier peu de temps auparavant avec un panier de linge entre les mains, fronça les sourcils d'inquiétude, concluant une fois de plus que Saito n'était pas à sa place avec Louise.
Dans l'aile du bâtiment où se trouvait la chambre de Mademoiselle de la Vallière, on pouvait entendre ses explosions de voix, sans en discerner toutefois le sens. Enfin, derrière la porte de sa chambre, sur le sol couvert de tapis, se trouvait Saito, le familier. A terre, il se traînait à quatre pattes sur le dos devant une Louise en colère qui pointait sur lui sa baguette magique. Saito n'avait pas peur de ce qui pouvait en résulter, ni qu'elle lui lançât un sort indisposant, mais il craignait les chutes d'objets qui l'entouraient, comme cette lampe de chevet qui devrait, une fois la tornade passée, de nouveau être remplacée. Mais plus que ça encore, il craignait le regard de Louise, sans vraiment trouver de raison logique à ça. Son allure et sa voix intimaient à l'obéissance, et quand elle se dressait ainsi, il n'avait pas cette force dont il avait parfois fait preuve devant ses ennemis. Cette force de caractère qui lui permettait de se sentir vraiment différent des gens de ce monde.
– Je t'ai vu ! répéta-t-elle au bord de l'hystérie.
Enfin, hystérie, Saito n'y croyait plus, tant de fois il l'avait vue dans cet état là.
– Je t'ai vu avec elle ! Tu ne fais que me raconter des mensonges ! Elle te tourne toujours autour, et tu ne fais rien pour l'empêcher ! Bien au contraire ! Tu n'as d'yeux que pour sa poitrine gargantuesque !
Louise leva une fois de plus sa baguette, fronçant un peu plus les sourcils, puis son regard croisa les dégâts qu'avait infligés au mobilier sa précédente tentative magique. Se renfrognant, elle rabaissa sa baguette et pivota sur sa gauche. Saito tourna la tête vers l'endroit où elle se dirigeait et leva la main vers elle.
– Non attend, Louise ! Je t'ai déjà dit qu'on s'était croisé par hasard et que… Mais c'est elle qui me suit ! Et…
– Si elle te suit, dit Louise sur un ton froid avec un début de sourire mauvais, alors tu n'as qu'à la fuir !
Et sur ces mots elle fit claquer la cravache contre l'armoire où elle avait été rangée. L'impact fit un bruit qui fit serrer les dents à Saito. Son cœur battait et il appréhendait ce qui allait se passer. Mais que pouvait-il faire ? A chaque fois qu'elle s'avançait ainsi avec sa cravache, il se reposait la même question : "que puis-je faire ?" La réponse était bien évidemment : tout. Tout sauf rester bêtement allongé ici dans l'attente de sa punition sadique. Et pourtant, ses muscles ne trouvaient pas la force de le relever, et lui-même n'avait pas la volonté de s'opposer à sa maîtresse.
Le premier coup claqua contre la cuisse de sa jambe droite repliée.
– Baka-Inu ! Ero-Inu ! C'est tout ce que mérite un chien en rut comme toi pour causer autant de mal à ta maîtresse !
Elle enchaîna les coups, d'abord sur sa cuisse, puis sur flanc droit. Saito roula sur la gauche et les coups plurent sur son dos. Les mains sur la tête, en position fœtale, il gémissait des excuses, espérant calmer la colère de Louise, et pourtant, il sentait dans les coups qu'elle lui délivrait, et dans la douleur qu'il ressentait, un certain plaisir. La pensée que c'était Louise qui lui infligeait ces douleurs, qu'elle pénétrait son armure pour lui provoquer une sensation physique.
– Gomen nasai !
– Tu aurais du y penser avant de commettre l'irréparable, encore et toujours !
Elle ponctua ses derniers mots par deux nouveaux coups qui vinrent claquer contre le dos de Saito. C'était des coups légers, à hauteur de la force physique de Louise, mais dont la douleur suffisait à Saito pour ressentir l'ambiguïté du mal versus plaisir.
Saito alors roula à nouveau sur le dos, les mains devant son visage, et regarda Louise, répétant ses excuses autant qu'elle l'insultait. Un léger sourire involontaire passa alors sur ses lèvres. Sous ses yeux brillants, cela changeait totalement le ton de son visage, et Louise le remarqua.
– Quoi ! Tu oses sourire ! Tu te moques de moi en plus ! Je ne t'ai pas assez puni ! Chien insolent !
Sa voix était encore montée un peu plus dans les aigus, et Saito plissa les yeux, prêt à recevoir des coups plus fort, et, serrant les dents, il se garda bien de montrer le moindre sourire. Il n'en avait d'ailleurs pas envie. Pourquoi donc avait-il fait ça ?
Interrompant ses pensées, il remarqua avec gêne que Louise se rapprochait de lui. S'accroupissant, elle le frappait maintenant avec ses poings serrés qu'il sentait s'enfoncer, à travers ses vêtements, dans son torse. Louise passa alors une jambe de l'autre côté du corps de Saito et celui-ci, surpris, la regarda s'asseoir à califourchon sur lui. Baissant sa garde, il avait rabaissé ses mains, et les releva trop tard pour parer le coup que Louise portait de ses deux mains, avec la cravache, sur son visage.
Le premier coup lui frappa le front violemment, et il hurla, puis les autres coups furent encaissés par ses avant-bras.
– Tiens ! Tiens ! Tiens ! Respecte-moi !
– Onegaaaaai ! Yamette !
Saito prit alors conscience, à cause des mouvements de bras de Louise qui mouvaient son corps entiers, du poids qu'elle avait sur lui. Et soudain, son cœur s'accéléra et il sentit sa gorge le serrer. Il avait chaud, et un frisson parcourut son corps. Au niveau de son entrejambe, il sentait les fesses de Louise qui y étaient assises. Mais plus encore, il sentait la pression d'une partie en particulier de son bas-ventre.
Semblant s'en apercevoir au même instant, Louise se raidit et le coup qu'elle prévoyait de porter s'arrêta en plein mouvement. Elle écarquilla les yeux, le regard plongé dans celui de Saito qui, bouche entrouverte, ne clignait plus, et ouvrit elle aussi la bouche. Elle la referma, puis la rouvrit pour pousser un cri perçant tout en se recroquevillant sur elle-même et en resserrant ses jambes, ce qui ne fit qu'accentuer la pression, à l'endroit où elle avait posé ses fesses, contre l'entrejambe de Saito.
– Hentaaaaaaai !
Et, les yeux fermés comme pour se protéger de toute pensée, elle abattit ses poings sur Saito qui releva instinctivement ses bras. Les mouvements ayant repris, il sentit le corps de Louise bouger sur cette partie de lui qui se durcissait.
Sentant l'impact des coups et la douleur qui leur était associée, une progressive conscience aigue de la situation se fit dans son esprit. Comme mus par une partie annexe de sa conscience, lentement, il bougea ses bras, et ses mains, fermes et puissantes, se posèrent sur les poignets de Louise, cessant aussitôt l'avalanche de ses coups. Elle le regarda, stupéfaite, puis tenta de dégager ses bras, en vain. Le regard de Saito avait changé, et Louise, le remarquant, le vit différemment. Une légère peur grimpa peu à peu en elle. Elle prit conscience des battements de son cœur qui augmentaient en cadence et en intensité ; elle le sentait cogner dans sa poitrine, et son corps commença à être pris de tremblements. Sa conscience ne parvenait pas, ou ne voulait pas, appréhender ou bien penser à ce qu'elle voyait dans le regard de Saito, mais son corps parlait pour elle, et lui transmettait ses émotions.
Elle voulu ouvrir la bouche pour parler, dans ce silence qui s'était fait maître, mais la prise de Saito sur ses poignets se raffermit. Sans y être préparée, elle fut d'un coup sec attirée vers lui sous la traction de ses bras. Forcée de se coucher sur son corps, elle sentait le contact de son torse contre le sien, et toujours cette proéminence qui, lorsqu'elle se pencha, frotta contre elle, provoquant une décharge qui manqua d'arracher un son à ses lèvres.
Louise, qui avait toujours son regard plongé dans celui de Saito, sentit alors les mains de celui-ci se détacher de ses poignets et immédiatement venir l'enserrer sur ses omoplates. Elle sentit aussi, puissante, la main de Saito se poser sur sa tête, et ses doigts sur son crâne lorsqu'il appuya, ramenant ainsi son visage contre le sien. Le visage de Saito aussi se redressa, et avant qu'elle eu put mettre ses mains à terre pour se redresser, il avait plaqué sa bouche contre la sienne. Son cœur qui accélérait plus encore devint quelque chose de lointain, autant que tout ce qui se trouvait dans la pièce, et autour d'eux. Elle sentait les lèvres de Saito sur les siennes, et ferma doucement les yeux pour repousser la conscience visuelle qui lui restait, et s'abandonner à son baiser. Ses mains aussi se relâchèrent, et elle les replia légèrement pour les poser sur les épaules de Saito, qui la serrait entre ses bras.



Etendue sur son amant, Louise avait peu à peu commencé à mouvoir ses lèvres et prendre le contrôle du baiser qu'elle échangeait avec Saito. Celui-ci, sans qu'elle ne s'en aperçoive, se fit plus rapide, plus profond et plus violent ; plus passionné. Elle suivit la cadence, et leurs deux têtes se murent comme pour chercher le meilleur angle à donner à ce baisser qui prolongeait chacun entre les lèvres de l'autre.
Lentement, le mouvement se calma, et bientôt, la conscience encore embrumée, Louise se décolla du visage de Saito et ouvrit les yeux. Son regard était tel qu'elle s'imaginait le sien, et un sourire vint éclairer automatiquement son visage, qu'elle effaça, gênée, dès qu'elle s'en rendit compte. Elle vit les lèvres de Saito remuer légèrement, et sentit le soulèvement de sa cage thoracique. Elle resta ainsi sans bouger, regardant dans ses yeux, ne sachant quoi faire ni quoi dire. Une foule de pensées se bousculaient dans sa tête, et tout lui disait de se relever, et de fuir. Fuir cette situation gênante et horriblement effrayante par son implication, et plus encore, le plus elle durait. Mais, telle qu'elle était, elle ne pouvait tout simplement pas faire le moindre geste. Elle sentait que chaque ordre donné à ses membres tombaient dans le néant, et qu'une force plus puissante la poussait à rester accrochée à ce regard, entre ces bras qui toujours se croisaient derrière sa nuque. Elle se sentait bien, tout simplement.
Les mains de Saito alors bougèrent, d'abord lentement, puis plus fermement lorsqu'elles s'arrêtèrent sur les épaules de Louise, et qu'elles les agrippèrent. Louise inspira et bloqua sa respiration, surprise. Ses yeux s'agrandirent, elle vit Saito déglutir, se préparant à faire quelque chose. A nouveau, elle sentit cette peur. Peur de l'inconnu, de l'inhabituel, de ce qui dérange la tranquillité de l'impassibilité.
Saito la fit alors basculer sur sa droite. Surprise, elle poussa un léger cri avant de cogner le tapis de son épaule gauche. Le reste de son corps bascula également, et elle sentit Saito, entraîné avec elle, qui la suivait dans ce mouvement. Si bien que le prolongement du mouvement de Saito la plaqua sur le dos, et que son corps se retrouva au dessus d'elle. Les jambes de Louise se resserrèrent par réflexe, et elle sentit celles de Saito les emprisonnant. Ses yeux écarquillés étaient posés sur le visage de Saito qui surplombait le sien, et sa peur avait encore augmentée. C'était elle, maintenant, qui sentait sa cage thoracique se soulever, et son cœur, toujours, qui tambourinait. Dans le mouvement, son chemisier avait légèrement été relevé, et elle sentait le froid qui parcourait le bas de son ventre. Cette bande de peau nue fut soudain aussi présente à son esprit que les mains de Saito, plaquée au sol, de chaque côté de sa tête, qui lui donnait l'impression d'être littéralement entre ses mains.
Saito, qui partageait cet hypnotisme dans ce regard croisé avec Louise, était terrifié. Il se sentait trembler de tous ses membres, et ses bras qui le soutenaient menaçaient de le faire s'écrouler. Ses frissons parcouraient son corps, et il se sentait suer de partout. La vision qu'il avait de Louise ainsi étendue sous lui, recroquevillée, comme effrayée, ne cessait de lui procurer des vagues d'émotions à son égard. Des émotions chaudes, rouges, comme une force psychique interne qui luttait pour saisir Louise, et la serrer contre lui autant que ses muscles le lui permettaient. Paralysé par cette terreur et ce désir qui ravageait son corps, il restait là à la surplomber, et se délectait de sa vision.
Après un long moment, il fit un mouvement de son bras droit. Il bougea la tête et vit du coin de l'œil le regard de Louise prendre le même chemin. Sa main, lentement, se déplaça au dessus du corps de la jeune fille et s'arrêta au niveau de son sternum. L'unique main qui le maintenait ainsi tremblait encore, et il banda ses muscles pour raffermir son soutien. Maîtrisant son corps et respirant profondément, il posa ses doigts sur le chemisier de Louise, et attrapa le premier bouton qui le maintenant fermé.
L'un après l'autre, il défit chacun des boutons du chemisier de Louise ; oppressé par ce silence qui semblait être le théâtre d'une cacophonie de pensées, mais sachant qu'un seul bruit ou une seule parole pouvait le faire flancher. Alors, sans relever les yeux de son ouvrage, il continua à faire jouer ses doigts sur l'habit, et effleura malencontreusement la peau du ventre nu au bas du chemisier. Cette sensation lui fit prendre une nouvelle respiration, et il entendit très nettement le tremblement dans son inspiration. Puis il reposa sa main à droite de la tête de Louise, et la regarda à nouveau. La couleur de sa peau avait changé ; son visage avait rougit, et son regard était intense et effrayé, sans toutefois montrer des signes de détresse. Lentement, alors, il prit appui sur sa main droite et souleva son bras gauche.
Louise sentait aussi nettement que si elle le voyait son chemisier qui était ouvert, et sa peau offerte à toute agression. Comme reflété dans les yeux de Saito qui la surplombait, elle voyait son torse qui apparaissait par endroits, et ses pensées furent interrompues par la vision de la main gauche de Saito qui se rapprocha d'elle. Elle tenta de respirer lentement, profondément, effrayée par le tremblement de ses expiration. Se sentant alors trop à vif, elle décida de fermer les yeux. Tout devint alors noir, et, entrouvrant la bouche pour laisser l'air entrer et sortir de ses poumons, elle sentit bientôt la caresse du tissu de son chemisier sur sa peau, et la froideur de l'air qui léchait sa poitrine nue. Elle voyait dans son esprit la main de Saito écarter les pans de son chemisier pour découvrir son torse, et l'imaginait se soulever à chaque inspiration. Elle imaginait le regard de Saito sur elle, et se sentait vulnérable.
Puis, elle ne sentit plus rien. Rien que la sensation de nudité de son torse. Elle se força à garder les yeux fermés, ayant goûté à l'abandon, et ne voulant plus retourner dans cette réalité oppressante d'une conscience torturée. Elle garda les yeux fermés pour croire qu'elle était ailleurs avec Saito. Dans un rêve, ou un monde différent. Et elle sentit les doigts, puis la main de Saito sur son ventre. Elle respira plus fortement, et la main de Saito parcourut son ventre et remonta vers sa poitrine. Une image lui vint soudain, à mesure que les doigts glissaient sur ses côtes ; celle de seins nus, imposants, ronds. Des seins de femme. Et son abandon fut entaché par cette pensée. Tout d'un coup, reprenant conscience de son identité et de la réalité, elle ressentit la honte. Puis, comme pour balayer tout ça ; effaçant d'un coup la noirceur qui menaçait de la submerger, elle sentit l'humidité de ses lèvres, et le bout de sa langue. Elle sentit la bouche de Saito se poser sur le bout de son sein, et une nouvelle décharge de plaisir la secoua, lui faisant momentanément perdre pied.
Cette sensation incontrôlable fit jaillir ses bras qui vinrent s'enrouler autour de la tête de Saito, pour l'attirer à elle. Dans le même moment, ses lèvres bougèrent et elle prononça son nom. A l'entente de ce mot, elle ressentit l'amour. L'amour qu'elle gardait chaque jour, qu'elle protégeait coûte que coûte contre l'assaut du monde. A ce moment, le monde n'était plus. Elle n'avait plus peur. Elle le répéta à nouveau : « Saito », tout en pressant sa tête contre sa poitrine. Puis, ses gestes suivant un désir transcendant sa conscience, elle mis ses mains devant le torse de Saito et le repoussa brusquement. Celui-ci se redressa, et elle le vit, à genoux, qui la regardait de sa hauteur avec un air d'incompréhension. Elle se redressa également, ne pensant plus à sa nudité, n'ayant d'yeux que pour son désir. Elle lança ses mains en avant et attrapa les pans de l'habit de Saito qu'elle tira vers le haut, découvrant ses hanches et son ventre sur lequel elle passa sa main, le caressant, et plongeant le mouvement vers le haut jusqu'à sa poitrine légèrement bombée. Saito leva les bras et termina d'ôter son vêtement pour se retrouver le torse nu. Il posa alors ses mains sur les épaules de Louise et lentement fit glisser son chemisier sur ses bras. Louise les rabaissa et se laissa faire. Puis, quand l'habit fut tombé, elle enlaça Saito et l'attira à elle en se laissant choir en arrière. Elle reçut le poids de son corps sur le sien, et sentit la chaleur de sa peau ; sa poitrine contre ses seins, et ses mains sur ses côtes, ses aisselles et ses bras tandis qu'ils s'embrassaient.
Louise faisait courir ses mains sur le dos de Saito, descendant jusqu'à la lisière de son pantalon puis remontant le long de sa colonne vertébrale. Posant ses mains de part et d'autre de sa tête pour soulever son corps, Saito décolla ses lèvres de la bouche de Louise pour glisser jusqu'à son cou, et un frisson parcourut tout son corps, la crispant. Puis, à mesure qu'il caressait son cou de ses baisers, elle se laissa aller à lui, et sentit les frissons la traverser encore et encore, sans les retenir. Les genoux de Saito se pressèrent contre les jambes de Louise qui les écarta légèrement d'abord, puis répondit à la pression qui poussait vers l'extérieur en les accueillant avec confiance.
Sentant alors l'envie toujours plus forte de se coller à lui, se le serrer, de s'amalgamer à son corps, Louise leva soudain ses deux jambes écartées et les serra autour des fesses de Saito, pressant ainsi son bassin contre le sien. A nouveau, elle sentait le relief de son entrejambe qui appuyait contre sa jupe. Elle devinait le désir de Saito, et ce qu'il signifiait, et cette conscience faisait augmenter son désir à elle aussi, qui avait chassé toute culpabilité.
Saito décolla alors une main du sol et la baissa jusqu'à sa taille. Il l'approcha de son bassin, et ses doigts entrèrent alors en contact avec la jupe, puis la cuisse de Louise. Il y posa sa main et la caressa, sentant sa chair de poule, et la contraction automatique de sa jambe sous l'effet de la surprise. Il la caressa sur toute sa surface, puis enfin fit remonter sa main vers la taille de Louise, jusqu'à l'habit qui protégeait l'ultime zone de sa pudeur. Il ôta alors sa main de sous sa jupe, puis la reporta sur sa taille, au bas de son ventre. Ses doigts glissèrent sous l'élastique, et poursuivirent encore jusqu'à attraper le bord du sous-vêtement plus fin. Saito sentit les cuisses de Louise se serrer autour de lui, et ses mains se crisper autour de son cou. Pendant un instant il ne bougea pas, la main toujours coincée dans sa jupe ; puis, lentement, il fit descendre son bras. Les jambes de Louise se détendirent, et elle les reposa au sol tandis que Saito continuait à tirer vers le bas.
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Re: Fanfic sur Zero no Tsukaima

Messagepar santaclose » 15 Mai 2014, 22:27

tu écris bien, pas de soucis. Le style érotique est bien rendu (j'ai lu des trucs pros vraiment pire) Fais gaffe par contre, je sais pas si l'érotisme est toléré sur un forum tout public.
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Re: Fanfic sur Zero no Tsukaima

Messagepar tommyvercetti » 16 Mai 2014, 07:17

santaclose a écrit: Fais gaffe par contre, je sais pas si l'érotisme est toléré sur un forum tout public.


Effectivement, je vais me renseigner, avant qu'on me punisse, et au cas où les modérateurs ne l'aient pas vu. Je m'étais demandé, mais vu que le texte venait lui même d'un site public, je m'étais dit que ce n'était pas comme du ecchi.
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Re: Fanfic sur Zero no Tsukaima

Messagepar santaclose » 16 Mai 2014, 09:39

En tout cas, joli travail
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Re: Fanfic sur Zero no Tsukaima

Messagepar tommyvercetti » 16 Mai 2014, 11:09

santaclose a écrit:En tout cas, joli travail


Merci !
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Re: Fanfic sur Zero no Tsukaima [POUR PUBLIC AVERTI -12ans]

Messagepar amateur d'aéroplanes » 03 Nov 2014, 08:36

Joli texte ;) Je doit avouez que j'ai pas encore eu le temps de visionné cette série.
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