Une Histoire comme une autre.

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Une Histoire comme une autre.

Messagepar Yrynade » 25 Mai 2015, 18:14

Bonjour ou bonsoir ne maîtrisant pas encore tout à fait les forums je poste mon sujet ici. C'est une petite histoire d'un personnage que j'ai crée il y à maintenant longtemps à une époque ou je découvrais Le Roleplay sur World of Warcraft. (Wow pour les connaisseurs.) Et j'avais décider de "fabriquer" un personnage de toute pièce et que je ferai évoluer avec le temps. C'est à ce moment que j'ai commencé à apprécier écrire me voir transporter par les histoires que j'écrivais me rendait heureux et me faisait oublier le restes pendant ce petit temps. :kgomen1: Donc j'ai décider de vous faire partager ce que j'ai aimé faire (du moins une partie.) et si cela plaît à la plupart d'entre vous j'aurais grand plaisirs à vous montrer la suite ou encore de vous faire suivre d'autre belles aventures ! Bonne lecture et merci de prendre le temps de lire mon sujet ! :kyay:

*Petite note ! Cela va concerner bien évidemment Le Lore (l'histoire de Wow) en espérant que cela peut être publier ici. Bonne journée/soirée !

I.Le commencement

Johnson...Né dans une famille composée d'un père qui est dans la Garde de Hurlevent et d'une mère infirmière dans leur village.Pendant l'absence de son père,Johnson aida souvent sa mère à soigner les gens de leur village et bien sûr dans les tâches ménagères.Pendant son temps libre il s'imaginait être un fier garde de Hurlevent tout comme son père l'était ,munit d'un bâton il allait affronter les quelques lapins qui détalaient à toute allure en voyant l'enfant courir vers eux en hurlant.A l'âge de 10 ans Johnson était un petit garçon heureux et plein de joie dès que son père rentrait il le suppliait à chaque fois de l'entraîner au maniement d'armes,alors avec des épées en bois il lui apprenait les rudiments du combat, Johnson en était si heureux et si fier que son père prenne le temps pour l'entraîner.Quand son père repartait vers la ville,Johnson était souvent triste car c'était moins amusant de s'entrainer seul. Alors tous les soirs l'enfant prenait son épée en bois et s'entraînait sur les mannequins et perfectionnait son maniement,de jour en jour Johnson devenait plus à l'aise avec l'épée et devenait de plus en plus habile.A l'âge de 15 ans son père lui offrit un vraie épée en métal,ce fût le plus beau jour de sa vie il enlaça son père et courût vers le mannequin le plus proche pour se donner à la joie du combat.Quelle en fût sa surprise quand il vît qu'il avait bien plus de mal qu'avec l'épée qui était en bois car elle était bien plus lourde et lui pesait plus sur les bras,il pleura lorsqu'il vît que les efforts qu'il avait fourni ces dernières années furent réduits en miette juste à cause du poids de l'arme.Son père posa sa mains gantée sur son épaule,le jeune homme le regarda dans les yeux.Son père lui afficha un large sourire et lui promit qu'il l'aiderait à maitriser l'épée et qu'il deviendrait un bon combattant. A ces mots, l'enfant se ressaisît et sourit à son tour à son père.A l'âge de ses 17 ans l'enfant devint un jeune homme robuste et assez musclé. Il se ruât sur un mannequin et asséna trois coups sur le torse et lui trancha la tête d'un coup net et précis,il s'essuya le front et rentra chez lui quand il entendit sa mère l'appeler pour le déjeuner.A ce moment là, pendant que Johnson mangeait son quignon de pain, sa mère lui demanda ce qu'il désirait faire dans l'avenir. Il répondit qu'il voudrait intégrer la garde de Hurlevent et combattre auprès de son père. Sa mère était à la fois fière que son fils veuille rejoindre son père mais avait aussi peur que Johnson se fasse tuer par une bête ou autre chose. Elle se contenta de lui sourire et repartit à ses tâches quotidiennes...

II.L'intégration

Pendant quelques années, Johnson continua de s'entraîner durement, tous les jours, pour être sûr qu'il puisse être à la hauteur de se qu'il désirait devenir.A l'âge de 22 ans il se décida enfin a rentrer dans les rangs de la Garde de Hurlevent. Pour cela, il quitta son village et partit vers la magnifique et imposante Capitale Hurlevent. A son arrivée dans la ville, il se dirigea vers un des gardes qui gardait la porte de la Capitale pour se renseigner du lieu où il devait aller pour postuler dans la garde. Ce garde le toisa de ses 2m10 et lui répondit d'aller dans le vieux quartier et précisément dans la caserne de la ville. Johnson remercia le garde il se dirigea vers le quartier indiqué. Après avoir chercher pendant une heure il trouva la fameuse caserne et y pénétra. Il se trouva nez-à-nez face à un garde qui se mit en travers de son chemin. Le garde aboya sur le jeune homme pour savoir ce qu'il voulait. Il répondit simplement qu'il désirait entrer dans la garde. L'homme le toisa avec froideur et lui indiqua le bureau et la personne qu'il devait aller voir pour cela. Johnson posa ses affaires et attendis que la personne derrière le bureau lui intime l'ordre de venir vers lui. Après avoir attendu 10 bonnes minutes, le recruteur se décida enfin à l'appeler. Il demanda des informations à Johnson : son âge, sa taille, son lieu et sa date de naissance. Ensuite, il lui demanda ce qui le motivait à rentrer dans la garde et quelle était la section qu'il souhaiterait intégrer...Il répondit à toutes les questions avec calme et justesse. Après avoir été en compagnie du recruteur pendant plus d'une heure et demie, il repartit de la capitale avec en sa possession un papier où il y était inscrit toutes les informations sur son entraînement au sein de la garde. Deux mois se sont passés depuis sa dernière venue et il repartit en direction de la Capitale. A son arrivé au lieu dit, deux choses avaient changé depuis la dernière fois : beaucoup plus d'hommes et de femmes étaient postés devant la porte de la caserne avec le même papier que Johnson dans la main. En patientant l'heure du rendez-vous, Johnson remarqua un autre homme qui lui aussi était derrière la masse humaine devant les grilles. Il s'en approcha et sympathisa. Johnson apprit qu'il s'appelait Anderius Stunwell, originaire du Comté-de l'or et qu'il cherchait à se faire recruter dans la garde. C'était un jeune homme d'environ 178 cm, sa chevelure possédait la même couleur que sa barbe c'est à dire marron. Il avait à peu près la même carrure que Johnson. Quand l'heure du rendez-vous arriva, les portes s'ouvrirent et deux gardes s' étaient postés devant, vérifiant les papiers et l'ordre d'appel. Quand Johnson et son ami pénétrèrent l'enceinte du bâtiment, ils virent que tous les hommes et les femmes s'étaient alignés en ordre face à un homme en armure de la garde. Mais à la place de voir comme d' habitude un casque, il avait un bandeau qui cachait son œil droit. Il devait mesurer dans les 2 mètres, sa barbe et sa coiffure au carré étaient grisâtres. Il posa son regard d'un vert éclatant sur les deux hommes et il leur fallut 2 minutes pour comprendre que l'homme attendait qu'ils s'alignent avec le reste de la compagnie. L'instructeur fixa un point puis commença à hurler. Il leur fallut quelques secondes pour comprendre que l'homme se présentait : c'était le sergent-instructeur Bertrand Conrad. Il disait à tout l'ensemble de la compagnie qu'à partir de ce jour, ce seraient les pires semaines de leur vie.

III.Les recrues

Désormais les journées de nos deux jeunes hommes étaient composées de marches, courses, de musculation et de maniement à l'arme. Plusieurs personnes de la compagnies s'écroulaient sous le poids de la fatigue.Trois mois se sont passés avec le même rythme que les premiers jours. Il restait maintenant 10 hommes et 5 femmes dont Johnson et Anderius. A la fin de la semaine ils pourront intégrer une patrouille. La fin de la semaine est arrivée et le père de Johnson s'était déplacé pour l'événement. Toutes les jeunes recrues étaient alignées et le sergent-instructeur passait devant eux, un par un, pour leur donner leur papier officiel certifiant leur admission ainsi que la patrouille qu'ils intégreront. Par je ne sais qu'elle chance Anderius et Johnson avait reçus la même patrouille et Johnson en était d'autant plus fier que c'était celle de son père. Dès que la remise fut finie il se précipita vers son père pour lui annoncer la nouvelle. Le père le regarda et le félicita de sa réussite. Des le lendemains matin il commencera sa première patrouille au côté de son père et de son ami.

IV.La routine

Pendant plusieurs années Johnson était aux anges. Les missions que leur groupe se voyaient confiées était simples et assez excitantes, comme relever si le nombre de murloc près du Lac cristal n'était pas en train d'augmenter trop rapidement ou bien de voir si les maraudeurs et autres bandits ne gênaient pas les routes en extorquant ou en tuant. Tout se passait bien, jusqu'au jour où...Johnson avait 36 ans et son père en avait 55. La troupe venait de rentrer de mission, le maréchal se rapprocha d'eux et les félicita de leur réussite, puis il demanda au leader,c'est-à-dire le père de Johnson de venir avec lui. Le maréchal donna un ordre de mission à son père tout en lui expliquant quelques détails. Quand son père revint vers la troupe, il semblait dur et inquiet. Johnson lui demanda ce qu'il devait faire, il répondit simplement de faire route vers la Colline des Sentinelles à la marche de l'Ouest...

V.La rencontre

Durant tout le voyage vers la Marche de l'Ouest, personne ne dit un mot. Tout le monde avait déjà entendu parler de cet endroit, de ce qui c'était passé pour les défias. Une rumeur disait que les défias essayaient de se rassembler une fois encore. Quand ils furent arrivés sur la route de la Marche de l'Ouest, ils virent un homme en costume avec deux autres personnes près d'un cheval qui était allongé par terre. C'est en se rapprochant qu'ils virent deux corps qui gisaient non loin du cheval. L'homme en costume se tourna vers les nouveaux arrivant et se présenta : c'était un inspecteur chargé de savoir ce qui leur étaient arrivés...Se souvenant de leur mission ils saluèrent les hommes et continuèrent vers le lieu indiqué sur leur ordre. Sur le chemin en voyant beaucoup d'homme près d'une ferme, la compagnie décida d'aller voir ce qui s'y passait, quand ils arrivèrent sur les lieux ils revirent le même homme que tout à l'heure avec ses deux compères. Un homme était mort à terre avec ses bottes sur le visage. Johnson alla voir l'inspecteur et lui demanda ce qu'il se passait : c'était la mort d'un sois-disant Lou deux-semelles, l'un des clochards les plus riches de la Marche de l'Ouest. Pendant ce temps, l'un des hommes de la compagnie s'éloigna un peu et se dirigea vers l'arrière de la grange. Il entendit des bruit, plutôt des paroles, et s' approcha discrètement. Il aperçut 4 hommes qui discutaient de quelqu'un. Ils étaient cagoulés, ce qui inquiéta l'homme. Malheureusement en s'appuyant contre la poutre il fit du bruit et les nervis se retournèrent. L'un des quartes cria quelque chose et se rua sur l'homme. Le bruit du fracas des lames qui s'entrechoquaient fit rappliquer les autres de la compagnie.
Le combat ne fut pas très dur car les hommes masqués n'avaient que des tessons de bouteilles comme armes et une simple tenue en cuir comme armure. Après les avoir tous défaits, les hommes remarquèrent que celui qui avait été la le premier était blessé au niveau du cou. Immédiatement il devait vite rentrer vers Hurlevent pour qu'il puisse recevoir des soins pour cela. Ils prirent un mouchoir et firent un garrot. Johnson et Anderius fabriquèrent un brancard à partir de branches et de feuilles. Sur la route près de la ferme des Saeldans, Johnson aperçut ce qu'il n'aurait jamais dut arriver. Une femme vêtue de noir et de rouge, accompagnée de 7 hommes et femmes, tous portaient un foulard rouge...Des défias. La femme regarda d'abord le père de Johnson, puis Anderius et le reste de la troupe. Les deux autres hommes déposèrent doucement le brancard à côté et brandirent leur armes. La femme fit un geste et tous ceux derrière elle se jetèrent sur la troupe. Ces personnes la étaient différentes des autres nervis de toute à l'heure. Ils étaient mieux armés et plus expérimentés dans l'art du combat. Durant tout l'affrontement La femme masquée regardait le combat et ne bougeait pas une fois. Deux des défias étaient à terre mais l'homme sur le brancard à été lâchement égorgé par un des hommes qui se faufila discrètement derrière eux. Un autre défias tombât mais les deux hommes portant le brancard tombèrent eux aussi, soufflant un dernier râle. Il ne restait que Johnson, son père et Anderius. Les 5 défias entouraient les trois hommes. l'un d'eux se ruât sur Anderius, qui lui tranchât la gorge après avoir paré de son bouclier l'attaque du nervis. Le père de Johnson donna un coup de bouclier et brisa la mâchoire d'un de ses agresseurs pendant que Johnson finissait d'empaler un défias qui essayait d'attaquer Anderius par derrière. Il restait deux défias quand soudain, la femme cria et les deux hommes restant partirent et disparurent au loin. Il ne resta plus que notre trio en face de cette femme.
D 'un geste net et précis elle lança un couteau en direction de la gorge de Johnson. Son père se ruât vers lui et fit barrière avec son corps. Il se le prit en pleine poitrine et s'écroula au sol. Soudain emplit de rage,Johnson fonça vers cette femme, mais elle disparut et ria du malheur du pauvre homme. Johnson lâchât son arme et se dirigea vers son père. Il le regarda, lui murmurât quelque chose puis fermât ses yeux. S 'en était fini de John Nefaell père de Johnson mais avant tout leader de la patrouille... Quelques gouttes perlèrent sur la joue de Johnson et il cria sa rage et toute sa haine.


VI.Le renouveau

Quelques mois se sont passés après cet "incident". Quand sa mère l'apprit, elle en tomba par terre et pleurât toute les larmes de son corps. Anderius et Johnson avaient ramené tout les corps avec l'aide d'hommes de la Colline Sentinelle. Ils furent enterrés dans le cimetière d'Hurlevent et reçurent les honneurs. Après cela, Johnson quitta la Garde et Anderius le suivît. Il lui demanda où il comptait aller et Johnson lui répondit qu'il ne savait pas trop mais que quand il serait arrivé à destination, il le saurait.
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Yrynade
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